Bernard Stiegler est mort. Il n’est pas
exagéré de dire que la philosophie (française) en est dévastée. Au sens
propre de ce terme : là où Stiegler se tenait singulièrement, se tient
désormais un vide inouï. Le désert croît, et ne cessera de croître. La
grande séquence philosophique française des années 60, à laquelle
Stiegler, s’il n’y appartenait pas déjà, était le plus ardent héritier,
touche à sa fin. Il faut le regretter. D’autant plus que ce qui se
prépare après sera ni plus ni moins que le règne du quelconque, et de la
bêtise rendue systémique (que Stiegler avait diagnostiqué dans Etats de chocs. Bêtise et savoir au XXI° siècle).
La philosophie n’y échappera pas : elle est déjà pleinement affectée.
Tout le discours sur la mort de la philosophie, sur son incapacité à
forger des propositions d’orientation pour la pensée, la vie ou la
politique ; tout ce qui, en elle, la mésestime, la discrédite – voilà
déjà des mots stieglériens ! –, au profit d’autres disciplines pouvant,
dit-on, la supplanter (comme s’il y avait à opposer l’anthropologie,
l’ethnologie, la sociologie, et la philosophie!), en vertu des nouvelles
modes de la fashion week culturelle (lesquelles ne dureront
pas plus qu’une saison printemps-été) ; tout ce qui, encore, la cantonne
à n’être qu’une spiritualité méditante qui conviendrait à tous les
anxieux de la Terre ; ou pis encore, ce qui, la niant, avec toute
l’ironie et la dérision dont le nihilisme mondain est capable, veut en
faire un instrument d’happening, ou de sémiologie du
dérisoire ; tout cela abêtit la philosophie, et ne la destine à n’être
rien de plus qu’une rubrique journalistique. Si Stiegler laisse dès lors
un paysage dévasté derrière lui, c’est au sens où bientôt ce seront les
falsificateurs (les apôtres de la post-vérité, qu’il critiquait tant!),
les lâches et les crétins (soit ceux qui, n’ayant pas le courage de
penser, découragent ceux qui pensent de penser), qui deviendront les
gardiens de ce continent à la dérive. Que les derniers capitaines
d’espoir (Nancy, Badiou, Rancière, Balibar, Milner…) tiennent bon d’ici
là ! Et que la relève s’assure et s’assume pour éviter le pire !
« Etats de choc : Bêtise et savoir au XXIe siècle », Bernard Stiegler (Mille et Une Nuits, 2012)
Avant d’en venir au fond des choses,
j’aimerais dire ce que Stiegler évoquait pour moi – ou pour certains de
ma génération de trentenaires. Et ce qu’il évoquait, avant toute chose,
c’était le courage de la pensée, la vie comme force de
proposition, la ténacité et la persévérance comme mode d’existence. « Je
soutiens que… » : le verbe « soutenir » hantait sa langue et son
écriture ; il se soutenait en soutenant des hypothèses, en cherchant un
arsenal conceptuel pour mener la guerre à son temps de bêtise. Constat :
« face à la catastrophe en cours : – nous sommes gravement désarmés ; –
il est urgent de reconstituer notre arsenal conceptuel »[1].
Tous les pense-petit s’en offusquaient : Stiegler était « trop » – trop
philosophe, trop conceptuel, trop jargonneux ; il était trop aux yeux
de ceux qui ne sont pas assez, c’est-à-dire pas assez digne de la
philosophie, pour savoir qu’elle ne les a pas attendue pour recevoir les
compte-rendus des petits inspecteurs des travaux finis, devenus
inspecteurs pour n’avoir pas les moyens de devenir des investigateurs,
c’est-à-dire des pa/enseurs. Puisque penser n’est pas panser,
pour eux (oh le vilain jeu de mots qui suffit, comme toujours, pour tous
ces impuissants, à discréditer une pensée!), penser, c’est dès lors
déprécier, ironiser, abêtir, rabaisser à leur bassesse ; et donc, tout
sauf penser, mais à la rigueur, ré-fléchir, au sens de faire fléchir
tout ce qui s’élève au-dessus d’eux (soit, à peu près tout). Si ma plume
est si méchante, c’est que ce qui arrivera après la pensée de nos
maîtres, est l’apensée, la destruction de toute pensée, sa privation ou
son impossibilisation par les lâches ricaneurs.
Autrement dit, rien n’arrivera sinon ce que Stiegler annonçait déjà sous le terme d’ « anthropie »[2].
Qu’est-ce que l’anthropie ? Terme forgé sur l’homophonie d’avec
« entropie » (concept de la thermodynamique exprimant la tendance pour
l’énergie de se dégrader et de se disperser), il indique la manière dont
l’humanité – anthropos , « l’homme » – crée une dynamique
destructrice, tant au niveau de l’esprit (destruction de l’attention, de
l’individuation et de la transindividuation, toxicité des dépendances
aux techniques amenant à la dépression), que de l’environnement.
L’anthropie est donc la tendance fondamentale de l’Anthropocène,
entendu, selon la conceptualité stieglerienne, comme Entropocène,
c’est-à-dire période géologique où la technique humaine a dégradé non
seulement nos capacités noétiques (de pensée), mais encore l’habitat de
vie des vivants. Dès lors, la bêtise, dont je parlais, tout à l’heure,
et qui règnera, si elle ne règne pas déjà, en maîtresse sur l’im-monde
qui vient, est conditionnée par l’anthropie de notre époque.
Ce à quoi nous assistons, par conséquent,
c’est à une destruction réglée de la pensée et du monde. Stiegler
n’envisageait pas simplement l’écologie comme relation du vivant à son
milieu naturel, mais également comme « écologie de l’esprit »[3],
relation du vivant humain à son environnement technique. Il n’y a pas à
opposer les écosystèmes de la Nature aux sociétés de culture, puisque
l’écologie qui cherche à préserver les premiers est mise sous condition
de la seconde, en ceci que cette dernière est le lieu ou l’élément de
l’anthropie, et donc de l’Entropocène, lesquels sont la cause de
l’anéantissement de la vie terrestre. Dès lors, si l’anthropie détermine
l’Anthropocène, c’est que l’écologie de l’esprit détermine l’écologie
naturelle. Autre version pour dire : que la régression psychique
humaine, causée par la disruption (le web comme instrument du
consumérisme, etc.), la conduit à se suicider, par cette compulsion
d’achat – la fameuse fièvre acheteuse – congénitale à une pulsion de
mort, pour ceci que ce consumérisme nécessite la dépense d’énergie
inutile et polluante (pétrole pour faire un pull, kérosène pour
l’acheminer de manière aérienne, etc.) déréglant le climat, et par
conséquent, l’équilibre de la vie sur Terre. Il n’y aura donc d’écologie
politique, digne de ce nom, que si l’on commence à panser cette
relation de l’individu à son milieu technique, lieu de toutes les
addictions de consommation, provoquées par le « psychopouvoir » du
numérique ou de la publicité, et pilotant les individus à n’être rien de
plus que des consommateurs, c’est-à-dire de proche en loin, à n’être
rien de moins que les propres destructeurs de leur milieu naturel de vie
et d’existence. Une écologie de l’esprit tendrait ainsi à faire de
l’économie libidinale, conditionnant l’économie politique, non pas une
alliée de l’anthropie, mais une alliée de la néguanthropie, permettant
de mettre un terme, ou à tout le moins, de mettre un coup d’arrêt à la
marche funèbre de l’Entropocène. La néguantropie indique ainsi, chez
Stiegler, l’anthropie négative, soit la capacité positive pour un
individu ou un collectif de s’organiser et de produire une énergie afin
de nous sauver du danger qui croît.
Ce qu’il y a d’admirable dans les travaux
de Stiegler, dans son œuvre, c’est qu’il n’a pas simplement été, dans
la droite ligne de Derrida, un grand déconstructeur de la philosophie,
ruinant les oppositions figées et abêtissantes de la tradition, mais
aussi l’archéologue des restes irréductibles restant à penser afin de
panser le monde qui vient. Déconstructeur, il fut donc également
restitueur. En tant que restituer, c’est aussi proposer et non pas
seulement s’opposer ; c’est affirmer, et non pas seulement infirmer.
Partout a-t-il cherché, dans tous les domaines du savoir (la biologie,
la physique, l’informatique, etc.), ce qui était resté en reste à la
philosophie, afin de l’en nourrir, de l’en aviver, de l’en inspirer, de
resituer le débat, de l’innerver jusqu’à son point névralgique, et ce,
en vue d’endiguer la destruction systémique à l’œuvre. Que nous
reste-t-il à penser et à panser ? Qu’est-ce qui demeure en reste à la
pensée pour se dépasser et éviter le désastre ? Ce sont ces questions
qui animèrent, de toujours, Bernard Stiegler, et qui l’amenèrent à
s’aventurer sur tant de terrains sur lesquels les philosophes ne
s’aventuraient pas. Sonder ce qui reste à panser, la restance de la
pensée comme ce qui demeure à inventer pour prendre soin des générations
à venir, était la manière dont Stiegler résistait. Car ce qui reste
résiste et persiste : penser ce qui subsiste en reste à la pensée, comme
son dehors qui pourrait venir l’affecter pour la faire bifurquer (autre
mot de Stiegler), c’était pour lui penser la résistance et panser pour
résister.
Le crétin dira que ce ne sont que des
mots. Je ne les justifierai pas. S’il n’était pas déjà pris dans la
bêtise systémique – soit la haine de la pensée –, cela ne lui
traverserait même pas l’esprit (ou ce qu’il en reste). Aussi pourrait-il
apercevoir – mais pour cela, encore faudrait-il qu’il lise –, que tous
ces concepts ont une nécessité. Chaque concept stieglérien – et Stiegler
était une machine à créer des concepts, ou des idiomes pour répondre,
justement, des et aux problèmes de son temps – s’inscrit dans un système
de pensée où l’anthropie figure le point nodal de celui-ci. Pierre de
touche de tant de concepts stieglériens (disruption, mécroissance,
prolétarisation, consumérisme, addiction, automatisation, misère
symbolique, etc.), l’anthropie lui permettait de diagnostiquer la
maladie époquale du présent, maladie humaine, trop humaine, qu’il
tentait d’inverser ou de réfréner par ce qu’il appelait de toujours : la
pharmacologie positive, thérapeutique alternative au système actuel de
l’économie disruptive et entropique (cette économie, donc, de
l’accélération de l’innovation prenant le pouvoir sur nos esprits, par
tant de procédés de captation de l’attention nous abêtissant – ce qu’on
appelle la gamification ou ludification –, ou d’automatisation nous vidant de nos savoir-faire).
« De la misère symbolique », Bernard Stiegler (Champs-Essais Flammarion, 2013)
Son style – presque un non-style, si l’on
peut dire, nerveux, sec, peu enrobé ni affecté, rugueux et
quasi-austère (son amour de Luther, et de la Réforme protestante s’y
reconnaissait) – figure cette tentative : à lire Stiegler, on constate
qu’en plus d’être un grand lecteur de la tradition philosophique (mais
pas que !, également historique, technique, scientifique, etc.), il est
aussi un lecteur de lui-même. A chaque livre, il branche l’essai qu’il
écrit, et le marque et le souligne, à son système tout entier : il crée
par là des embranchements, des réseaux signifiants, de résistance, comme
autant de résistances électriques cherchant à empêcher la disruption du
système (« mes livres veulent servir des luttes », écrivait-il dans De la misère symbolique) ;
il couple les concepts entre eux, pénètre toujours davantage dans les
boyaux de l’impensé en éclairant cette trouée ou ce frayage par les
flambeaux conceptuels qu’il a laissés dans sa traversée en amont de sa
galerie en forme de galère. L’œuvre de Stiegler est une œuvre de
frayage : un travail monstrueux, nécessitant tant de courage, un travail
de sape et de refondation inouï, qui l’aura aussi emporté (il ne faut
pas se voiler les yeux), même si dans sa mort elle-même, il nous aura
démontré encore une fois tout son courage.
Désormais, il nous faut – c’est un impératif ! – avoir son courage, le courage de sa pensée, soit le courage de panser, le courage de sa parrêsia,
c’est-à-dire de son « franc-parler », de son parler-vrai, de son
éthique de vérité. Le courage était son mot et sa chose, car pour la
pensée, écrivait-il : « (…) le courage est requis. Le courage est ce qui craint un danger sans en avoir peur,
c’est-à-dire : sans chercher à lui échapper, mais en le combattant
comme tel. Ce combat comme tel (…), c’est ce qu’après le 11 septembre
2001 j’ai appelé la pharmacologie. Le courage de cette pensée qui panse
est précisément celui de la parrêsia. »[4]
Qu’importe si des crétins détestent le « il faut », ne sachant pas ce
qu’il y a de fragile et de risqué dans cette injonction – puisque
« falloir » a la même étymologie que « faillir » – ; car pour pouvoir
écrire « il faut », pour pouvoir saisir l’injonction de pensée et
d’action d’une époque, il en faut du courage, et beaucoup de courage,
pour ne pas défaillir devant le poids écrasant de la charge. Ceux qui
soutiennent, sans rien soutenir comme responsabilité (ni comme
orientation de pensée), que la philosophie doit cesser avec ce « il
faut », ceux-là même n’ont pas commencé à penser, et à penser ce que
signifie, au sens de Stiegler : panser[5]. Il nous faut
nous tenir à sa hauteur, c’est-à-dire à la hauteur de l’urgence de
notre époque en détresse, sans nous décourager, afin de nuire à sa
bêtise, en cela que « nuire à la bêtise est d’abord combattre la
lâcheté »[6]. Bernard Stiegler sera, en vue de cette tâche, notre meilleur frère d’armes, notre meilleur allié.
[5] En
cela, faudrait-il appeler crétin : toute personne qui, impuissante pour
soutenir toute responsabilité de la pensée, tente de rendre impuissante
toute personne qui essaye d’en endosser la charge et le poids. Le
crétin, non seulement ne peut pas ne pas se signaler comme crétin, mais
ne peut pas ne pas abêtir ceux qui font. Esprit de vengeance :
le crétin abaisse pour n’être point en mesure de s’élever à la hauteur
des responsabilités. D’où sa dérision constante : il lui faut ricaner de
tout pour ne rien avoir à prendre au sérieux. Le crétin est un lâche,
ni plus ni moins.
[6] Stiegler, Qu’appelle-t-on panser ?, p.237. Ce qu’il disait dans De la misère symbolique (p.194) ainsi : « la pensée est plus que jamais ce dont la vertu première est justement le courage. »
How to spot a perfect fake: the world’s top art forgery detective
Jamie Martin in the offices of Sotheby’s in New York. Photograph: Joshua Bright/The Guardian
Forgeries
have got so good – and so costly – that Sotheby’s has brought in its
own in-house fraud-busting expert. By Samanth Subramanian
The
unravelling of a string of shocking old master forgeries began in the
winter of 2015, when French police appeared at a gallery in
Aix-en-Provence and seized a painting from display. Venus, by the German
Renaissance master Lucas Cranach the Elder, to describe the work more
fully: oil on oak, 38cm by 25cm, and dated to 1531. Purchased in 2013 by
the Prince of Liechtenstein for about £6m, Venus was the inescapable
star of the exhibition of works from his collection; she glowed on the
cover of the catalogue. But an anonymous tip to the police suggested she
was, in fact, a modern fake – so they scooped her up and took her away.
The
painting had been placed in the market by Giuliano Ruffini, a French
collector, and its seizure hoisted the first flag of concern about a
wave of impeccable fakes. Ruffini has sold at least 25 works, their sale
values totalling about £179m, and doubts now shadow every one of these
paintings. The authenticity of four, in particular, including the
Cranach, has been contested; the art historian Bendor Grosvenor said
they may turn out to be “the best old master fakes the world has ever
seen.” Ruffini, who remains the subject of a French police
investigation, has denied presenting these paintings as old masters at
all. To the Art Newspaper, he protested: “I am a collector, not an expert.”
The
quality of these paintings – their faithful duplicity – jolted the
market. The sums of money at stake in art, never paltry to begin with,
have grown monstrous. Thirty years ago, the highest auction price for a
painting was $10.4m, paid by the J Paul Getty Museum for Andrea
Mantegna’s Adoration of the Magi in 1985. In contrast, while the $450m
paid for Leonardo da Vinci’s Salvator Mundi in 2017 counts as an
outlier, abstract expressionists and impressionists frequently come, in
auctions or private deals, with nine-figure price tags.
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In
lockstep, the incentive to be a proficient forger has soared; a single,
expertly executed old master knockoff can finance a long, comfortable
retirement. The technologies available to abet the aspiring forger have
also improved. Naturally, then, the frauds are getting better, touching
off a crisis of authentication for the institutions of the art world:
the museums and galleries and auction houses and experts who are
expected to know the real thing from its imitation.
What
was most unnerving about the alleged fakes sold by Ruffini was how many
people they fooled. The National Gallery in London displayed a small
oil painting thought to be by the 16th-century artist Orazio Gentileschi
– a battle-weary David, painted on an electric-blue slice of lapis
lazuli; the work is now suspect.
A portrait of a nobleman against a muddy background was sold by
Sotheby’s in 2011, to a private collector, as a Frans Hals; the buyer
paid £8.5m. Sotheby’s also sold an oil named Saint Jerome, attributed to
the 16th-century artist Parmigianino, in a 2012 auction, for $842,500.
With care, the catalogue only ventured that the work was from the
“circle of” Parmigianino– an idiom to convey that it was painted by an
artist influenced by, and perhaps a pupil of, Parmigianino. But the
entry also cited several experts who believed it was by Parmigianino
himself.
The works were full of striking,
scrupulous detail. On Jerome’s arm, for example, dozens of faint
horizontal cracks have appeared; every so often, a clean, vertical split
intersects them. In French canvases from the 18th century, cracks in
paint tend to develop like spider webs; in Flemish panels, like tree
bark. In Italian paintings of the Renaissance, the patterns resemble
rows of untidy brickwork. On the Saint Jerome, the cracks match
perfectly. Prof David Ekserdjian, one of the few art historians who
doubted that the painting was a Parmigianino, said he just didn’t feel
the prickle of recognition that scholars claim as their gift: the
intimacy with an artist that they liken to our ability to spot a friend
in a crowd. “But I have to be frank, I didn’t look at it and say: ‘Oh,
that’s a forgery.’”
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When
Sotheby’s sells an artwork, it offers a five-year guarantee of refund
if the object proves to be a counterfeit – “a modern forgery intended to
deceive”, as its terms specify. In 2016, after uncertainty crackled
over the Hals and the Parmigianino, the auction-house sent them to Orion
Analytical, a conservation science lab in Williamstown, Massachusetts.
Orion was run, and staffed almost solely by, James Martin, who has
loaned his forensic skills to the FBI for many art forgery
investigations. Within days, Martin had an answer for Sotheby’s: both
the Hals and the Parmigianino were fakes.
The
“Hals” contained synthetic pigments that the artist, in the 17th
century, could not have used. In Saint Jerome, similarly, Martin found
phthalocyanine green, a pigment first synthesised four centuries after
Parmigianino died. It showed up consistently across 21 paint samples
from various parts of the painting – “a bit like taking the pulse of a
corpse 21 times,” Martin told the New York Times last year. Sotheby’s
refunded both buyers, and filed suits against the sellers, demanding
they return their proceeds from the sales.
In
December 2016, in a signal of how attribution scandals have spooked the
market, Sotheby’s took the unprecedented step of buying Orion Analytical,
becoming the first auctioneer to have an in-house conservation and
analysis unit. The company had seen enough disputes over attribution to
mar its bottom line, its CEO, Tad Smith, said: “If you looked at
earnings reports from a year or two ago, you’d see little blips here and
there. These were expenses coming from settlements – not a slew, the
number was small and statistically insignificant, but they’re
expensive.” The cost of insurance that covers such settlements was also
rising. With Martin in the building, “the pictures and other objects
moving through Sotheby’s now have a much higher chance of being
checked”, Smith said. Last year, Martin analysed more than $100m worth
of artworks before they went under the hammer or into private sales.
Sotheby’s employs him, in part, as a conservator, so he ministers to the
health of the paintings and sculptures that pass through. But over the
past two decades, Martin has also become the art world’s foremost
forensic art detective. He has worked so many forgery cases with such
success that he also serves Sotheby’s as a line of fortification against
the swells of duff art lapping into the market.
The
first major painting sold by Sotheby’s was also a Hals – a real one:
Man in Black, a half-length portrait of a hatted gent. Until 1913,
Sotheby’s had dealt in books for a century or thereabouts; art made up
only a wan side business. In that year, though, a Sotheby’s partner
found a Hals consigned to the firm, and rather than forwarding it to
Christie’s, as was often the practice, decided to auction it. After a
spirited contest of bids, Man in Black sold for £9,000 – a 26% rate of
return per annum since Christie’s had last auctioned the work, in 1885,
for around £5. It was the first signal, for Sotheby’s, that there was
profit to be mined from paintings. Last year, it sold $5.5bn worth of
art, jewellery and real estate.
The
Frans Hals painting, Portrait of a Gentleman, supplied to Sotheby’s by
Mark Weiss. It sold for a reported £8.5m ($10.8m) but was later declared
fake. Photograph: Sotheby's
For
Sotheby’s, the question of authenticity is not merely, or even
primarily, academic. There is more at stake than a satisfying answer to
the fundamental conundrum of whether authenticity matters at all – a
debate that has been fought and refought in the history of western art.
“If a fake is so expert that even after the most thorough and
trustworthy examination its authenticity is still open to doubt,” the
critic Aline Saarinen once wondered, “is it or is it not as satisfactory
a work of art as if it were unequivocally genuine?” Typically, this
debate comes to rest at the same place every time. Of course
authenticity matters; to study a false Rembrandt as a true one would be
to hobble our understanding of Rembrandt as an artist, and of the
evolution of art. Now, however, the question’s philosophical whimsy has
been replaced by financial urgency. At a time when the art market is
synonymous with art itself, a lack of regard for attribution would
derail a trade that traffics in the scarcity of authentic Rembrandts.
Leaving
straight forgeries aside, any discussion about the “authenticity” of an
artwork opens suddenly, like a trapdoor, into the murk of semantics. On
the sliding scale of attribution that art historians use – painted by;
hand of; studio of; circle of; style of; copy of – each step takes the
artist farther from the painting. These variations, often subtle, are
compounded by the unease about overpainting; Salvator Mundi had been
worked over so many times and so heavily, critics argued, that it was
less by Da Vinci than by his restorers. Deliberate fakes,
misattributions and poor restorations all encroach into the realm of the
authentic. In two decades at the Met in New York, Thomas Hoving, the
museum’s director until 1977, must have examined at least 50,000
objects, he wrote in his book False Impressions. “I almost believe that
there are as many bogus works as genuine ones.”
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Like
criminals of every stripe, modern forgers have kept easy pace with the
techniques that attempt to trap them. The mismatch between the purported
age of a painting and the true age of its ingredients is the workhorse
of Martin’s technique. So forgers have grown more rigorous in their
harvesting of materials, taking the trouble, for instance, to source
wooden panels from furniture they know is dateable to the year of the
fake they are creating. (The trick isn’t wholly new; Terenzio da Urbino,
a 17th-century conman, scrabbled around for filthy old canvases and
frames, cleaned them up, and turned them into “Raphaels”.) Forgers also
test their own fakes to ensure they’ll pass. Wolfgang Beltracchi, a
German artist who served three years in prison for forging paintings
worth $45m, surveyed the chemical elements in his works by running them
under X-ray fluorescence guns – the same handheld devices, resembling
Star Trek phasers, that many art fairs now train upon their exhibits.
Georgina
Adam, who wrote Dark Side of the Boom, a book about the art market’s
excesses, told me that many forgers are sensibly choosing to falsify
20th-century painters, who used paints and canvases that can still be
obtained, and whose abstractions are easier to imitate. “The technical
skill needed to forge a Leonardo is colossal, but with someone like
Modigliani, it isn’t,” she said. “Now, scholars will say it’s easy to
distinguish, but the fact is that it’s just not that easy at all.” In
January, in a celebrated Modigliani exhibition in Genoa, 20 out of 21
paintings were revealed to be counterfeits.
As
the tide of money in the market has risen, making decisions about
authenticity has turned into a fraught venture. Collectors, realising
how much they stand to lose, are now happy to take scholars and
connoisseurs – traditionally the final authorities on the authenticity
of a work – to court for their mistakes. Realising that their
reputations, as well as their bank balances, may wilt under the
heat,these experts have begun to subtract themselves from the game
entirely.
The estates of several 20th-century
artists had once taken on the duty of resolving doubts over attribution,
setting up authentication committees, consisting of experts or the
artist’s former colleagues or friends – people expected to know the work
best. In 2007, a collector named Joe Simon-Whelan sued the Andy Warhol
estate’s authentication committee, claiming it had twice rejected a
Warhol silkscreen he owned because it wanted to maintain scarcity in the
Warhol market. Four years later, after spending $7m in legal fees, the
estate dissolved the committee. The authentication boards of other
modern artists – Jean-Michel Basquiat, Keith Haring, Roy Lichtenstein,
Alexander Calder – have followed. Individual connoisseurs – as the art
world calls its experts – won’t always challenge popular
identifications, wrote the critic Jerry Saltz in a scorching essay
on the vertiginous price of Salvator Mundi. They are reluctant to “rock
the already splintering institutional boat. As in the wider world,
where people sit by for fear of losing position, it’s no wonder that
many old master experts are keeping quiet, not saying much of anything.”
The
collapse of these committees feels like a victory of the market over
the academy, like a blow to the very cause of trustworthy
authentication. (In New York, a small band of lawyers is lobbying for
legislation that will protect scholars from being sued merely for
expressing their opinion.) In this void of opinion, Martin’s abilities –
premised not on the mysterious instincts of connoisseurship, but on the
verifiable results of the scientific process – have an even higher
valence.
Martin, a tall man with lumber-beam
shoulders, has a voice that never surpasses a murmur. He is a consummate
nerd; find someone who looks at you the way Martin looks at his
Fourier-transform infrared microscope. He trained as a conservator of
paintings, but now he assays them: picks out their chemical
constituents, inspects pigments and binders, peers under their washes of
colour. From a painting’s materials, he can extract the vital detail of
when it could, or could not, have been created.
The
field of scientific art conservation is not a crowded one; Martin, who
set up the first for-profit art lab in the US, has been consulted in
nearly every major fraud case in the past 25 years, often working
alongside the FBI or other investigators. When he is described as the
premier forensic detective working in art today, the accolade comes not
only from people such as John Cahill, a New York lawyer who has managed
dozens of art transactions, and who called Martin “hands-down the best
in the business,” but also from those on the other side of the fence, so
to speak. Beltracchi, the German forger, told me that, after his
arrest, he had seen an assortment of technical studies collected by the
police and the prosecution. He remembered Martin’s well. “His reports
contained the most accurate results. His reports were factually neutral
and without unrealistic guesses.” By folding Martin into its staff,
Sotheby’s has given itself a muscular chance to stamp out problems of
attribution before they flare into spectacular, expensive affairs. But
it’s hard not to feel, at the same time, that it has cornered a precious
resource, at a moment when the art world needs him most.
Martin
spent much of last year setting up a new lab in what used to be a photo
studio on the fifth floor of the Sotheby’s headquarters in Manhattan.
Soon, he will also have a London facility, in the building where the
Beatles once recorded A Taste of Honey for the BBC. The New York lab,
one large room, is as white and aseptic as a dentist’s clinic. Many of
the cabinets are still empty, and the desk surfaces often bear nothing
apart from one red pack of Martin’s Dentyne Fire gum. Outside the lab,
above the lead-lined double doors, is a warning light; if it’s on, so
too is the giant x-ray fluorescence machine, and no one is allowed in.
One
Friday in mid-February, the room held only two items of art. A carved
wooden chair sat on a counter; on a stand was a painting that, for
reasons of confidentiality, may be described here only as “a late-19th
century American work”. When a painting checks into the lab, it is first
submitted to a visual examination in bright, white light; then the lamp
is moved to one side, so that the light rakes over the surface at an
angle, showing up restored or altered areas. The canvas in Martin’s lab
was at the next stage; it had been photographed under ultraviolet and
infrared, and then under x-rays to discover some of the painting’s
chemical elements.
On a computer, one of
Martin’s two colleagues cycled through the images. Under infrared, the
painting’s browns and yellows and greens turned into shades of grey, but
no spectral underdrawings peered back out. (Not that underdrawings
would have suggested anything about authenticity one way or another;
they’d merely have been a further nugget of information to consider.)
Mapped for lead by the x-ray fluorescence unit, the painting looked
faded and streaked with dark rust; the streaks betrayed where restorers
had perhaps applied touchups with modern, lead-free paint. Mapped for
calcium, the painting showed yellow-green splashes where conservators
had made repairs with a calcium carbonate filler.
Not
every object needs to move beyond these non-invasive phases. (At Orion,
Martin was once able to unmask a fake Modigliani after seeing, under
infrared, a faint grid, which had been drawn by a forger who wanted to
guide his work.) If Martin has to disturb the painting, he will place it
under a stereo microscope and, squinting through the two eyepieces,
pick out a grain of paint with a scalpel. He demonstrated with a sample
of phthalocyanine blue, a synthetic pigment he picked out of a box that
held paint cakes of different colours. Working with the same steady,
cautious manner in which he speaks, he teased out a particle smaller
than the width of a human hair, flattened it gently, then nudged it on
to a slim, small rectangle of metal, where it was held in place between
two tiny diamonds.
“You don’t drink a lot of coffee before you do this,” he said, grimacing.
Cracks in the surface of a 16th-century painting as seen through Martin’s microscope. Photograph: Joshua Bright/The Guardian
The
metal plate then goes into the Fourier-transform infrared microscope,
like a slide. The spectrometer pumps infrared light through the flecks
of pigment; a computer analyses the light’s behavior and returns a tidy
spectrum graph. Martin has looked at so many of these spectra that he
recognises on sight the patterns thrown up by different pigments, but
even if he didn’t, the computer could rifle through databases of the
spectrum patterns of other known chemicals, find the nearest match, and
tell Martin what, in this case, he already knew: that his sample was
phthalocyanine blue.
By a system of triage –
sorting, for instance, for artists with a high incidence of being faked
in the past, or for works accompanied by scientific analysis reports
that are suspiciously long – only a small percentage of the tens of
thousands of objects passing through Sotheby’s is diverted to the lab.
Martin thinks of them as patients showing symptoms. Sometimes, like a
doctor doing general checkups, he will tour the galleries at Sotheby’s
just before a sale, reading every work with a handheld infrared camera.
In the past year, his lab has stopped several lots from going to market,
preventing possible disputes after the sale. In one case, a painting
valued at $7m was removed from sale after the lab found that it had been
completely and irretrievably overpainted by a restorer. “An appraiser
would’ve said it’s worthless,” Martin said. “So it wasn’t sold.”
The
arduous process of Martin’s work divorces art from its aesthetic. It
reduces compositions of great prestige or high beauty to their very
particles; it frees Martin up to think of art as pure matter. In this
way, he comes closer to the artist than anyone has before, often
becoming only the second person to think as intensely about the
materiality of the object, about the chemical nature of its pigments or
the physical properties of its canvas. The art he analyses derives its
worth from unique, flashing inspiration. His own talent, if anything,
has more in common with the forger. It lies in his capacity to be
unflashy but diligent – to perform a step time after time without a
slackening of attention, to never leave a molecule unturned, to never
conclude more about a work than what it tells him about itself.
When
Martin turned 13, his father gifted him a microscope, a chemistry kit,
and art lessons – a splendid piece of foreshadowing. He used them all,
but he was particularly attracted to art. The family lived in Baltimore,
and whenever they visited Washington DC, Martin spent his time at the
National Museum of Natural History, drawing the dioramas, while the
others wandered the capital. His father worked in army intelligence. “As
a child, I’m not sure I understood what he did. I do remember being in
airports and trying to guess who was a spy,” Martin said. He devoured
detective stories and loves them still, particularly Patricia Cornwell’s
novels about Kay Scarpetta, the forensic pathologist. “We both examine
patients that cannot speak their past,” he said.
In
a universe a twist away from ours, Martin might have become a forger
himself. Late in his teens, he joined an art school where students were
taught how to grind their own pigments and stretch their own canvases.
For practice, he set up an easel in the Baltimore Museum of Art and
copied the works he liked; he grew so accomplished that once, as he was
leaving with his copy of William Merritt Chase’s Broken Jug, the museum
director spotted him and asked if he was returning the painting to
storage.
“I was very good technically,” Martin
said, “but like most art forgers, I didn’t have my own creative way of
doing things.” He thought he’d become an illustrator of medical
textbooks, but then heard about a conservation programme at the
Winterthur Museum in Delaware. The portfolio he submitted included his
copy of the Chase, as well as of other painters – all at such a high
level of craft, said Richard Wolbers, who taught him at Winterthur,
“that we were blown away”. He was such a good copyist, in fact, that he
was almost rejected. “Later, I heard that the committee worried that if
they trained me to be a conservator and taught me all the science, I’d
be a natural forger.”
After
Winterthur, Martin was hired by the Clark Art Institute, a museum in
Williamstown, Massachusetts, to conserve paintings. A couple of years
later, he set up the museum’s first conservation lab, filled with
equipment that he bought or begged from chemistry departments in nearby
universities. At the time, in 1990, the apparatus of analysis – the
microscopes, the spectroscopes, the infrared cameras – was bulky,
expensive and difficult to operate. Few museums had their own labs,
Martin said. “The Guggenheim, the Brooklyn Museum, MoMA [Museum of
Modern Art], the museums in San Francisco – none of them had the
facilities.”
In getting to know a painting,
conservators in these museums relied first on the tactility of their
craft – “listening to the sound of the swab on the canvas”, Martin said,
or “feeling the pull of the swab in the varnish”. Most conservation
departments owned microscopes, some perhaps even x-ray machines. But if
they needed some serious technology – Fourier-transform infrared
microscopes, say, or scanning electron microscopes – they could turn
only to the lab in the Metropolitan Museum of Art, or to those in
universities. Even then, an expert was still needed to interpret the
data. “Small museums really didn’t have any place to go. Some people
took paintings to the vet to get them x-rayed.”
Martin’s
lab began by assisting conservators who had no equipment of their own.
“If someone was trying to get a varnish off a painting and didn’t want
to damage it by using a solvent that was too strong, they’d send me a
sample,” he said. “I’d tell them: ‘It’s polyurethane. You’re not going
to get it off.’ Or: ‘It’s shellac. You need to use alcohol.’” A
conservator wondering if the strange sky in a landscape was overpaint –
paint applied by later restorers – could mail Martin a tiny
cross-section tweezed out of the work, so that he could examine it under
a microscope. “We’d see the layers in the cross-section: varnish,
varnish, varnish, then blue sky, then more varnish, then more sky. So
we’d establish that the topmost layer of blue was overpaint.”
In
its materials, an artwork holds its biography, so inevitably, Martin
became an arbiter of authenticity. Nearly all of the privately owned art
labs in Europe and the US have been founded in the past decade – not
coincidentally, around the time that the world’s multi-millionaires
realised how hollow their lives had been without art. But in the 1990s,
at Clark, and then again at Orion, which he founded in 2000, Martin was
often the sole resource for collectors and merchants.
James Martin using his stereo fluorescence microscope in his New York lab. Photograph: Joshua Bright/The Guardian
Some
of his stories from these years have the baroque pulpiness of Elmore
Leonard plots. Martin narrates these with care; he is alive to the
sensational aspects of his work, but by default, he wears an air of
studious detachment. There were the two questionable gentlemen from Tel
Aviv, who slipped a pair of paintings out of architects’ tubes, shook
them open as if they were rugs, and asked him to confirm that they were
Modiglianis. (They weren’t.) There was the client who sent Martin to
test a painting at an auction house, claiming he wished to bid on it,
but then also had Martin stop by a warehouse to assess “a horrible copy”
of the same painting. (Martin now thinks the client wanted to know how
close the fake was to the genuine work.) There were the two ferocious
dogs chained near the front door of a house in Los Angeles, guarding the
stolen Chinese sculptures held within. There was the collector who
offered to fly Martin to an undisclosed location, have him picked up by a
security detail, and bring him in to examine an old Mexican stele, a
stone carving supposedly worth $50m. The night before his flight, Martin
was unable to sleep, so he Googled the collector and found that he had
recently been released from federal prison after serving time on weapons
charges.
Next morning, Martin called the collector and turned down the case.
“Oh,” the collector said. “Did you read about the murders?”
“No,”
Martin said. “What murders?” The collector, it turned out, had once
been implicated in the killings of two people over a matter of Mexican
steles. Martin never got on that plane.
The FBI
first came to Martin in 1994. A suspicious number of works ascribed to
the 19th-century artist William Aiken Walker, who often painted black
sharecroppers in the American south, were emerging in the market.
“They’d sell at really small country auctions for $5,000 or $10,000 – so
low that nobody would pay for analysis,” Martin said. From the
paintings, Martin sampled a yellow pigment called PY3, which had been
manufactured in Germany and was not available to American artists until
the late 1940s, decades after Walker died. Walker also used lead white
paint, Martin found; the forger used zinc white. A former vitamin
salesman named Charles Heller was eventually indicted for a spree of
counterfeiting, but he pleaded guilty to lesser charges and served one
year in prison.
With
even a little study, a con artist would know not to use zinc white;
some forgers go on to become diligent researchers, accessing technical
journals and case studies to learn what experts search for. Martin
recalled a painting once referred to him, around 3.5 sq metres in size
and dated to 1932. In a first round of study, he discovered nothing
amiss. But the work’s provenance – its documented history of ownership –
was shaky, so he ran a second pass under a microscope. For most of a
day, he scanned the painting in dime-sized increments, until his eyes
dried up. Was anything embedded in the paint: dust, or hair, or an
insect wing? Did the dirt look as if it had been smeared on
deliberately? Finally, embedded in a speckle of blue, he found a slim
fibre; with a scalpel, he snipped it off and subjected it to infrared
spectroscopy. The fibre turned out to be polypropylene. Perhaps someone
had worn a polar fleece while painting the forgery?
For
a while, Martin cited this example in a two-day course he taught. Last
year, though, he read a translation of Faussaire (or Forger), a French
novel written in 2015 and containing a wealth of sound wisdom for
forgers. “If you want to get hold of antique lead,” one character
advises another, for instance, “then you can just pick up bits of it
from the old buildings in Rome.” The same character warns of the dangers
from “microparticles from your clothes … You must always work in an old
smock. Never nylon or a modern apron.” Martin is convinced the detail
came from his anecdote; it was one reason he decided to stop teaching
his course altogether.
As a crime, art forgery
can seem trifling – less a sinister outrage than a half-complete Robin
Hood jape that merely robs the rich. After Beltracchi’s arrest in 2010,
the Frankfurter Allgemeine called art forgery “the most moral way to
embezzle €16m”; Der Spiegel noted that, unlike crooked bankers,
Beltracchi hadn’t swindled the common man. But the crime can have real
victims, and Martin has met so many of them that he has developed a
gentle bedside manner to break bad news. He has seen people who used the
money set aside for their children’s education to buy a painting, only
to find it to be fake. “So we aren’t just talking rich people. In some
situations, it’s a person’s whole life.”
The
inflation of the art market, and its attendant litigiousness, imposes
fierce pressures upon anyone called to judge the authenticity of an
artwork. Martin’s harshest experience of this came during the bitter
legal battle over the fate of the Knoedler gallery. The Knoedler, once
New York’s oldest gallery, closed in 2011, days after Martin issued a
report concluding that a Jackson Pollock it had sold for $17m was fake.
The
bogus Pollock was only the inauguration of a scandal. Over 15 years,
Knoedler had sourced and sold 40 paintings ascribed to a range of
leading modern artists: Willem de Kooning, Mark Rothko, Richard
Diebenkorn and Robert Motherwell, among others, earning roughly $80m in
the process. When the ambiguity of the works’ provenance raised needles
of suspicion, 10 buyers sued Knoedler and its director, Ann Freedman;
all but one of these lawsuits have been settled out of court. In 2013,
investigators learned that the forgeries had been painted by a Chinese
immigrant, who was by then 73 years old, in his garage in Queens,
and placed with Knoedler by an art dealer who pleaded guilty.
Knoedler’s executives claimed they had no knowledge of the fraud, and
argued that scholars had verified the works before sale.
In
at least four of the lawsuits, which carried on for years, the
plaintiffs hired Martin to test the paintings they had purchased. He
found them all to be forgeries. A purported Rothko from 1956, which sold
for $8.3m, used a ground layer of white paint between the canvas and
the oils; through that decade, though, Rothko had used a transparent
ground layer. In an apparent Pollock, the artist seemed to have
misspelled his own signature as “Pollok”. Further, in 16 Knoedler
paintings he analysed, Martin found the same ground layer of white paint
and other anachronistic pigments repeating themselves across the works
of several artists, as if Motherwell, De Kooning and Rothko had all
travelled forward in time, met in a bar, and swapped tubes of paint.
A fake Mark Rothko painting is shown to the court during a trial in New York in 2016. Photograph: AP
Eventually,
Martin was proved right; when the FBI raided the Queens garage, it even
found the tubs of white that had coated the canvas in the fake Rothko.
But, until then, the trials were a torrid experience. Knoedler recruited
experts to attack Martin in court. “They went after him with a
vengeance, saying he’d soiled the evidence, accidentally or on purpose,”
said the lawyer John Cahill, who represented some of Martin’s clients.
Knoedler’s attorneys served six subpoenas on Martin, to extract more
than 8,000 documents and emails related to the case. Instead of being an
expert witness, he was forced to defend himself – the care and
soundness of his methods, his very character – in court.
When
Martin talks about the Knoedler trials, even the memory of the ordeal
draws a look of horror on his face. “He’s a real boy scout, and his
integrity means a lot to him, so he suffered,” Cahill said. It was an
attempted impeachment of Martin’s whole career. “His entire power relies
on being objective, on not being part of the party,” said Narayan
Khandekar, who runs Harvard’s Straus Center for Conservation and
Technical Studies. “He comes under a lot of pressure, because people
have a lot of money at stake on the outcome of his analyses. But he’s
been very, very brave to stand up and stay stolidly on track with what
he does.”
Martin had always loved science for
its ability to guide him in pursuit of truth, and he felt a deep
distress when his objective facts were countered with dirty tricks and
personal vilification. In 2016, after his clients settled with Knoedler,
Martin found it difficult to return to work. He wanted to never have to
provide expert testimony again, and to go away to paint for a while;
he’d already primed a set of boards.
“It was
surreal, what happened to me,” he said. “No scientist should have to go
to through this.” When, later that year, negotiations began for
Sotheby’s to buy Orion, Martin was ready to be cocooned within a larger
institution. He’d rather probe works before they hit the market, he
decided, than go through the acrimonious aftermath of a sale even once
more. Above his desk in Sotheby’s, Martin keeps pinned a pair of
sketches of himself from his time in the Knoedler courtroom, as if to
remind himself of what he has gratefully left behind.
In
conversation, Martin uses many homespun metaphors, but his favourite is
that of the three-legged stool. Deciding the authorship of artworks, he
says, relies on connoisseurship, technical analysis and provenance. He
values the opinions of connoisseurs, considers them complementary to his
own skills; his tests can definitively reveal if a painting is not by Da Vinci or Modigliani, but they are unable to affirm authorship, except in rare cases.
Science
has a habit, though, of showing up the sagacity of scholars. In a 1932
trial in Berlin – the first in which a forensic exam was used to
scrutinise art – two connoisseurs squabbled about the authenticity of a
set of 33 canvases, all purportedly by Vincent van Gogh, all sold by an
art dealer named Otto Wacker. It took a chemist, Martin de Wild, to
trace resins in the paint that Van Gogh had never used, and to prove the
paintings fake. Since then, the science has improved, even as human
judgment has remained the same, vulnerable to the potential thrill of
discovering new work, and to market pressures. During the Knoedler
trial, Cahill remembered, one expert admitted that he couldn’t tell one
Rothko canvas from another, or indeed whether a Rothko had been hung
upside-down or right side up.
In
any case, however fond he is of the three-legged stool, Martin may have
to think soon of a different item of furniture. The humanities are in
decline everywhere; in England, the art history A-level course came close to
being abolished altogether in 2016. The populace of connoisseurs is
thinning out. “In British art now, for a major artist like George
Stubbs, there’s no recognised figure that we can all go to and say: ‘Is
this by George Stubbs or not?’ Because various specialists have died
recently, and there’s no one to replace them,” Bendor Grosvenor, the art
historian, said. Meanwhile, researchers at Rutgers University have
developed an AI system that, in tests, detected forged paintings with
100% accuracy by scanning and comparing individual brushstrokes. One leg
is growing longer, another growing shorter, the stool becoming
decidedly imbalanced. And so, if the art market wants to beat back the
threats posed by sophisticated forgeries – if it wants to preserve its
financial vigour, rooted as it is so absolutely in the notion of
authenticity – it will have to turn more and more to the resources of
science.
As a thought experiment, it is
possible to envision the immaculate forgery – the one that defeats
scientist and connoisseur alike. Our villain is a talented copyist, well
practised in the style and the themes of his chosen artist. He is also a
resourceful procurer of materials, able to rustle up every kind of
age-appropriate canvas and frame, pigment and binder. He fits his
forgery neatly into a chain of provenance – giving it the title of a
now-lost work, or providing false documents to claim that it had been
part of a well known private collection.
In
theory, if each of these steps is perfectly performed, there should be
no way to expose the painting as fake. It will be a work of art in every
way save one. But the world of today, the world in which the forgery is
being created, is likely to fix itself in some form within the painting
– as radioactive dust, perhaps, or as cat hair, or a stray
polypropylene fibre. When that happens, only the scientist can hope to
nab it.
• This article was amended on 18 June
2018. A previous version stated that the last art history A-level was
cut in England in 2016, but in fact a campaign of protest led to a new
version being introduced in 2017.
• Follow the Long Read on Twitter at @gdnlongread, or sign up to the long read weekly email here.
Or
donc, les appels se multiplient appelant les autorités sanitaires et
politiques à revenir à la raison -ce qui signifie pour parler français
d'oser s'extraire de l'influence délétère des comités d'experts à la
botte des pharmas, comme le concept de "corruption systémique"
(abondamment documenté sur ces pages comme dans mon livre "Covid : anatomie d'une crise sanitaire") la met en lumière. C'est
tout le drame de nos autorités : de ne s'être appuyés que sur des
groupes à la logique dévoyée (sans intention malfaisante), devenus par
la force des choses les petites mains des intérêts crapuleux qui
dominent le monde de la santé depuis plusieurs décennies. Des
collectifs de vrais experts au moins aussi qualifiés que ceux qui
trônent dans les Task Force diverses et variée de nos pauvres
démocraties font enfin entendre leur voix de manière sonore. Les
parlements tentent aussi, même si un peu timidement, de reprendre la
main. Et le peuple (vous savez, ce soi-disant souverain que le fantasme
des puissants espère réduire depuis la nuit des temps à une simple
passivité servile) se mobilise aussi enfin en nombre. Cent
mille personnes sont attendues à Zürich ce jour, un million en demi à
Berlin, avec une prise de parole fort attendue de l'avocat américain
Robert Kennedy Jr -grand défenseur des droits des patients et de la
démocratie sanitaire- à l'endroit même où son oncle prononça son fameux "Ich bin ein Berliner" ! Comptons
sur notre presse pour prétendre qu'ils auront en fait été 5'000 et
10'000, constitués bien sûr et uniquement de complotistes d'extrême
droite (what else...) ! Ce genre de ficelles odieuses prend heureusement
de moins en moins. A Genève, Mauro Poggia continue de se féliciter
que le gouvernement se soit attribué les pleins pouvoirs et ait agi
avec la diligence requise. M. Poggia est un homme pour qui j'ai de
l'estime, arrivé à la tête du département de la santé comme une bouffée
d'air frais et de bonne volonté sincère après les années d'obscurantisme
médical des magistratures Unger. S'il
continue à se défendre en visant ces "experts auto-proclamés" qui
contredisent les cercles sous influence auxquels il a prêté foi -me
visant sans doute au passage puisque c'est le costard qui m'a été taillé
dans ma notoriété nouvelle- il lui restera le chemin de Canossa à
parcourir de comprendre à un moment donné à quel point il s'est trompé
-certes avec la circonstance atténuante d'avoir été manipulé. Nos
autorités finalement auront fait aussi faux qu'en France, tout en ayant
eu le bon goût de le faire de manière moins autoritaire. Nous pouvons
leur être gré de cette nuance et de cette retenue, qui aura rendu
l'aventure moins invivable pour nous. Mais ne les exonérera pas d'un
bilan redoutable. Qui
s'en rend déjà compte - à part les milieux économiques, avec leur
pragmatisme ? Nous nous dirigeons du fait de la gestion insensée du
Covid vers ni plus ni moins qu'une destruction massive de nos sociétés. Un
million de chômeurs supplémentaires auront été produits en France
depuis le début de l'épidémie - et ce n'est qu'un début. On estime qu'un
tiers au moins des PME, des commerces, des bars et restaurants, des
hôtels vont disparaître, avec une augmentation massive du nombre de
personnes précarisées et nécessiteuses accompagnée d'une réduction tout
aussi drastique des recettes publiques et donc des moyens d'aider la
population. Sans compter l'explosion de la détresse et même du désespoir ainsi qu'un effondrement de la santé psychique. Tout
ceci à cause d'une épidémie qui n'aura été que la dixième plus grave
(en termes de surmortalité) depuis l'après-guerre et dont la courbe
épidémique s'est effondrée dès avril pour disparaître en mai !!! J'invite
les lectrices et lecteurs qui l'osent à lire le texte proposé ici. Il
s'agit de l'appel international lancé par un autre panel de
professionnels de la santé (professeurs, médecins, épidémiologistes,
infirmiers, chercheurs, etc.) au nombre desquels figurent la biologiste
Hélène Bannon, ancienne directrice de recherches à l'INSERM, dont nous
avons accueilli à deux reprises les analyses passionnantes sur ce blog.
Puis éventuellement de relire les textes que j'ai produits ici dès le 12
mars pour apprécier que tout ce que j'avais indiqué d'emblée est bel et
bien aujourd'hui vérifié. MM.
Berset et Poggia auraient été autrement inspirés de m'écouter et
d'écouter les meilleurs spécialistes vers lesquels je me suis tourné
dans mon effort documentaire. Le monde est ainsi fait que les tout
meilleurs (comme les Pr Ioannidis, Gotzsche, Giesecke ou Raoult) sont
vilipendés et dénigrés par des quart de pointure qui beuglent des
vérités qui n'en sont pas et auront précipité nos sociétés dans l'abîme. Oui,
l'analyse qui viendra forcément en son temps sera implacable pour
beaucoup. Mais comme souvent, si elle fera (un peu) de bien, elle
arrivera surtout TROP TARD. Ouvrir les yeux, comme aurait dit ce pauvre Hollande, c'est maintenant !
“STOP ! Manipulations, masques, mensonges, peur…”
Un collectif international de professionnels de santé dénonce
des “mesures folles et disproportionnées”
Un
collectif de professionnels de santé a lancé ce jour un “Message
d’alerte international” adressé aux gouvernements et citoyens du monde
entier. Parmi les signataires, des médecins de nombreux pays et
plusieurs professeurs en médecine dont le microbiologiste Martin
Haditsh. Le
collectif revient sur la dangerosité réelle du virus, la manipulation
des chiffres, le rôle de l’OMS, les conséquences du confinement ou du
port du masque, et demande notamment aux gouvernements de “lever toutes
les restrictions et les obligations sur les citoyens”. Vous pouvez
télécharger l’intégralité de cette lettre ici en français, ou ici en anglais. Les professionnels de santé qui le souhaitent sont invités à rejoindre le collectif “United Health Professionnals” à l’adresse join.unitedhealthprofessionals@gmail.com Nous, professionnels de santé, à travers plusieurs pays au monde :
1.Nous disons :
STOP à toutes les mesures folles et disproportionnées qui ont été
prises depuis le début pour lutter contre le SARS-CoV-2 (confinement,
blocage de l’économie et de l’éducation, distanciation sociale, port
de masques pour tous, etc) car elles sont totalement injustifiées,
elles ne sont basées sur aucune preuve scientifique et elles violent
les principes de base de la médecine basée sur les preuves. Par
contre, nous soutenons bien sûr les mesures raisonnables comme les
recommandations de lavage des mains, d’éternuer ou de tousser dans son
coude, utiliser un mouchoir à usage unique, etc. Ce
n’est pas la première fois que l’humanité fait face à un nouveau
virus : elle a connu le H2N2 en 1957, le H3N2 en 1968, le SARS-CoV en
2003, le H5N1 en 2004, le H1N1 en 2009, le MERS-CoV en 2012 et fait face
tous les ans au virus de la grippe saisonnière. Pourtant, aucune des
mesures prises pour le SARS-CoV-2 n’a été prise pour ces virus-là.
On nous dit : «Mais, le SARS-CoV-2 est très contagieux»
et nous répondons : C’EST FAUX. Cette affirmation est d’ailleurs
rejetée par des experts de renommée internationale. Une simple
comparaison avec les autres virus permet de constater que la
contagiosité du SARS-CoV-2 est modérée. Ce sont des maladies comme la
rougeole qui peuvent être qualifiées de très contagieuses. Par
exemple, une personne atteinte de rougeole peut infecter jusqu’à 20
personnes alors qu’une personne infectée par ce coronavirus n’en
contamine que 2 ou 3, soit : 10 fois moins que la rougeole. – «Mais, c’est un virus nouveau»
et nous répondons : H1N1 et les autres virus qu’on a cités étaient
aussi des virus nouveaux. Pourtant : on n’a pas confiné les pays, on
n’a pas bloqué l’économie mondiale, on n’a pas paralysé le système
éducatif, on n’a pas fait de distanciation sociale et on n’a pas dit
aux gens sains de porter des masques. De plus, certains experts disent
qu’il est possible que ce virus circulait déjà avant mais qu’on s’en
est pas rendu compte. – «Mais, on n’a pas de vaccin»
et nous répondons : au début de l’H1N1 on n’avait pas non plus de
vaccin, comme à l’époque du SARS-CoV. Pourtant : on n’a pas confiné
les pays, on n’a pas bloqué l’économie mondiale, on n’a pas paralysé
le système éducatif, on n’a pas fait de distanciation sociale et on
n’a pas dit aux gens sains de porter des masques. – «Mais, ce virus est beaucoup plus mortel»
et nous répondons : C’EST FAUX. Car rien que comparé à la grippe et
si on prend en compte la période entre le 1er Novembre et le 31 Mars,
il y a eu au niveau mondial -lorsque ces mesures ont été prises- :
860,000 cas et 40,000 morts alors que la grippe dans la même période
de 5 mois infecte, en moyenne, 420 millions de personnes et en tue
270,000. De plus, le taux de létalité annoncé par l’OMS (3,4%) était
largement surestimé et était rejeté dès le début par d’éminents
experts en épidémiologie. Mais, même en prenant ce taux de
létalité, on constate que ce coronavirus est trois fois moins mortel
que celui de 2003 (10%) et 10 fois moins mortel que celui de 2012 (35%). – «Mais, la COVID-19 est une maladie grave»
et nous répondons : C’EST FAUX. Le SARS-CoV-2 est un virus bénin pour
la population générale car il donne 85% de formes bénignes, 99% des
sujets infectés guérissent, il ne constitue pas un danger pour les
femmes enceintes ainsi que les enfants (contrairement à la grippe), il
se propage moins rapidement que la grippe et 90% des personnes
décédées sont des personnes âgées (qui doivent, bien sûr, être
protégées comme les autres populations à risque). C’est pour cela que
des experts ont qualifié de «délire» l’affirmation que c’est une
maladie grave et ont affirmé, le 19 Août dernier, que «ce n’est pas
pire que la grippe». – «Mais, il y a des personnes asymptomatiques» et
nous répondons : dans la grippe aussi, 77% des sujets infectés sont
asymptomatiques et ils peuvent aussi transmettre le virus. Pourtant : on
ne dit pas, chaque année, aux sujets sains de porter des masques et on
ne fait pas de distanciation sociale malgré que le grippe infecte 1
milliard de personnes et en tue 650,000. – «Mais, ce virus entraîne une saturation des hôpitaux» et nous répondons : C’EST FAUX.
La saturation ne concerne que quelques hôpitaux mais on fait croire
aux gens que tout le système hospitalier est saturé ou que la
saturation est imminente alors qu’il y a des milliers d’hôpitaux dans
certains pays. Est-il raisonnable et vrai d’attribuer, par exemple, à
1000 ou 2000 hôpitaux une situation qui ne concerne que 4 ou 5
hôpitaux ? Rien d’étonnant, aussi, au fait que certains hôpitaux
soient saturés car il s’agissait de foyers épidémiques (comme la
Lombardie en Italie ou New-York aux USA). Il ne faut pas oublier que les
hôpitaux de beaucoup de pays ont été submergés (y compris les soins
intensifs) lors de précédentes épidémies de grippe et qu’à cette
époque, on parlait même de : “tsunami” de patients dans les hôpitaux,
“d’hôpitaux saturés”, de tentes érigées à l’extérieur des
hôpitaux, de “zones de guerre”, “d’hôpitaux effondrés” et d’un “état
d’urgence”. […]
2. Nous disons :
STOP à ces mesures folles à cause, aussi, de leurs conséquences
catastrophiques qui ont déjà commencé à apparaître : suicide de
gens angoissés comme ça été rapporté en Chine, développement de
pathologies psychiatriques, paralysie du parcours éducatif des élèves
et des étudiants à l’université, impacts négatifs et dangers sur
les animaux, négligence des autres maladies (surtout chroniques) et
augmentation de leur mortalité, augmentation des violences conjugales,
pertes économiques, chômage, crise économique majeure […], graves
conséquences sur l’agriculture, déstabilisation des pays et de la paix
sociale et risque de déclenchement de guerres. […]
3. Nous REFUSONS
l’obligation des applications de traçage des contacts comme c’est le
cas dans certains pays car le SARS-CoV-2 est un virus bénin qui ne
justifie pas une telle mesure. D’ailleurs, selon les recommandations
internationales et quelle que soit la sévérité d’une pandémie
(modérée, élevée, très élevée), le traçage des contacts n’est
pas recommandé. Lors des épidémies de grippe, faisons-nous un
traçage des contacts ? Pourtant, le virus de la grippe infecte beaucoup
plus de gens et comporte plus de populations à risque que ce
coronavirus.
4.
Nous disons : STOP à la censure des experts et des professionnels de
santé pour leur empêcher de dire la vérité (surtout dans les pays
qui se disent démocratiques).
5.
Nous partageons l’avis des experts qui dénoncent l’inclusion des
dépistages dans le comptage des cas, même si les sujets sont bien
portants et asymptomatiques. Ceci
a abouti à une surestimation des cas. On rappelle que la définition
d’un cas en épidémiologie est : «la survenue de nombreuses issues
possibles : maladies, complications, séquelles, décès. Dans la
surveillance dite syndromique, on définit comme cas la survenue
d’évènements non spécifiques tels que des groupements de symptômes
ou des motifs de recours aux soins, hospitalisations, appels de services
d’urgence». Nous disons donc : il faut séparer les dépistages des cas
et il faut arrêter de les mélanger.
6.
Nous partageons l’avis des experts qui dénoncent le fait qu’aucune
distinction n’est faite entre les personnes mortes du virus et les
personnes mortes avec le virus (avec des co-morbidités), le fait que la
cause du décès soit imputée au SARS-CoV-2 sans test ni autopsie et
que des médecins soit mis sous pression pour que la COVID- 19 soit
marquée comme cause de décès, même si le patient est décédé
d’autre chose. Ceci aboutit à une surestimation du nombre de morts et
constitue une manipulation scandaleuse des chiffres car au cours des
épidémies de grippe saisonnière par exemple, on ne travaille pas de
cette façon. D’autant plus que 20% des patients COVID sont co-infectés
par d’autres virus respiratoires aussi. Après réévaluation, seuls
12% des certificats de décès dans un pays européen ont montré une
causalité directe du coronavirus. Dans un autre pays européen, les
professeurs Yoon Loke et Carl Heneghan ont montré qu’un patient qui a
été testé positif mais traité avec succès puis sorti de l’hôpital,
sera toujours compté comme un décès COVID même s’il a eu une crise
cardiaque ou a été fauché par un bus trois mois plus tard. Le
directeur du CDC (Centers for Disease Control and Prevention) d’un pays
en Amérique du Nord a reconnu, le 31 Juillet, que des hôpitaux avaient
bien une incitation financière perverse à gonfler les chiffres de
décès dus au coronavirus.
7.
Nous partageons l’avis des experts qui ont mis en garde contre
l’intubation quasi- systématique de certains patients, due à la peur
folle du virus. Il faut que les protocoles soient modifiés car ils ont
abouti à un nombre élevé de morts.
8.
Nous disons qu’il est important qu’une révision des performances
analytiques et cliniques des tests mis sur le marché soit faite, y
compris les tests virologiques. Beaucoup de kits sont utilisés
actuellement alors qu’une partie importante de leurs performances (par
exemple : la spécificité analytique, surtout pour les quatres
coronavirus saisonniers) n’a pas été évaluée, ce qui est grave car
en plus des cas de faux négatifs, la littérature rapporte des faux
positifs inquiétants, ce qui peut surestimer le nombre de cas et de
morts. Selon un professeur de microbiologie, le taux de faux positifs
peut atteindre 20%. Certains articles scientifiques qui rapportent ces
cas de faux positifs ont été censurés. Nous disons donc : STOP à
l’obligation des tests de dépistage à cause de ce manque de fiabilité
et du manque de vérification de leurs performances et parce que rien
dans ce coronavirus (qui est un virus bénin et avec un taux de
létalité faible) ne le justifie. Comme nous l’avons dit : la grippe
infecte chaque année 1 milliard de personnes, soit : 30 fois plus que
le SARS-CoV-2 et pourtant, aucun test n’est exigé pour les voyages.
9.
Nous disons aux citoyens : n’ayez pas peur, ce virus est bénin sauf si
vous faites partie des populations à risque. Si les chaînes de
télévision font la même chose avec la grippe, les chiffres seront
beaucoup plus élevés que pour le coronavirus ! La télévision vous
rapportera chaque jour en moyenne : 3 millions de cas et 2,000 morts de
grippe. Et pour la tuberculose, la télévision vous rapportera chaque
jour en moyenne : 30,000 cas et 5,000 morts. En effet, le virus de la
grippe infecte chaque année 1 milliard de personnes et en tue 650,000
et la tuberculose infecte chaque année 10,4 millions et tue 1,8 million
de personnes. De plus, à la TV on vous parle de « cas » alors qu’il
s’agit de dépistages et non pas de cas. […]
10.
Nous disons aux citoyens : le lavage des mains est un réflexe qu’on
doit avoir tout au long de notre vie, qu’il y ait le coronavirus ou pas,
car c’est la mesure d’hygiène la plus efficace. Mais, porter un masque
lorsqu’on n’est pas malade et pratiquer la distanciation sociale, ça
ne fait pas partie de l’hygiène ou de la préservation de la santé
publique mais c’est de la folie. Porter un masque longtemps comporte
plusieurs effets indésirables pour votre santé et le transforme en nid
à microbes. “Le virus peut se concentrer dans le masque et lorsque
vous l’enlevez, le virus peut être transféré dans vos mains et ainsi
se propager”, a déclaré le Docteur Anders Tegnell, épidémiologiste.
Lorsqu’on lui a demandé si les gens se mettaient plus en danger en
portant des masques, le Docteur Jenny Harries a répondu : «En raison de
ces problèmes de manipulation [des masques], les gens peuvent se
mettre plus en danger». […] Vous devez savoir que la bouche et le nez ne
sont pas faits pour être obstrués. Ce que vous portez est un masque,
en apparence mais une muselière de votre liberté, en réalité.
D’autant plus que, comme le disent plusieurs experts dont le Professeur
Yoram Lass, l’épidémie est terminée dans la majorité des pays et
ceux qui vous disent le contraire sont des MENTEURS. En vous disant que
l’épidémie n’est pas terminée, en brandissant la menace d’une 2e
vague (qui ne repose sur aucune preuve), en vous demandant de porter un
masque et de faire de la distanciation sociale, le but est, en fait, de
prolonger la peur jusqu’à la fabrication d’un vaccin et pour qu’il soit
mieux accepté par vous.
11.
Nous disons aux compagnies aériennes : plusieurs études scientifiques
ont montré un lien entre l’excès d’hygiène et le développement de
maladies comme les maladies allergiques, les maladies auto-immunes, les
maladies inflammatoires ou certains cancers. C’est ce que l’on appelle
en médecine : l’hypothèse hygiéniste. Donc, arrêtez les opérations
de désinfection et enlevez les masques ainsi que les combinaisons
protectrices ridicules de vos employés qu’on a vues dans les médias.
Faire cela relève de la folie. Les aéroports doivent aussi arrêter la
prise de température ainsi que les quarantaines. Le SARS-CoV-2 n’est
pas la peste noire. Vous aussi, comme les citoyens, vous avez été
manipulés.
12.
Nous disons aux gouvernements : levez toutes les restrictions et les
obligations sur les citoyens (état d’urgence, port de masque
obligatoire, distanciation sociale, etc.) car elles sont stupides et
purement dictatoriales et n’ont rien à voir avec la médecine ou
l’hygiène ou la préservation de la santé publique. Il n’y a aucune
raison scientifique ou médicale pour que des citoyens non malades
portent un masque. Le Docteur Pascal Sacré, anesthésiste-réanimateur,
a dit : «Obliger tout le monde à les porter tout le temps, alors que
l’épidémie disparaît, est une aberration scientifique et médicale».
Le Professeur Didier Raoult dit : «La décision du confinement comme la
décision des masques…ne reposent pas sur des données scientifiques…».
[…]. Le Professeur Maël Lemoine a précisé aussi que le changement de
discours sur les masques est : «politique, pas scientifique». Dans
certains pays asiatiques, les gens portent des masques toute l’année
(pour se protéger, entre autres, de la pollution). Est-ce que ce port
généralisé des masques dans ces pays leur a évité d’avoir des
épidémies de coronavirus ? Est-ce que ce port généralisé des
masques dans ces pays leur évite d’avoir chaque année des épidémies
de grippe ou d’autres virus respiratoires ? La réponse est bien sûr :
non. […]
13.
Nous disons aux forces de l’ordre : les citoyens vous doivent beaucoup
car vous êtes tous les jours les garants de leur sécurité et du
respect de l’ordre et de loi. Mais, faire respecter la loi ne veux pas
dire se soumettre de manière aveugle à des ordres injustes. C’est
cette erreur qui a conduit à la seconde guerre mondiale et à la mort
de 50 millions de personnes. Nous vous disons donc : faites respecter la
loi mais pas l’injustice et la dictature, refusez d’imposer ces
mesures, refusez de verbaliser vos concitoyens (lorsqu’ils ne portent
pas un masque par exemple), ne les frappez pas, ne les emprisonnez pas.
Ne soyez pas les instruments de la dictature. […]
14.
Nous disons aux citoyens : il faut respecter la loi. Mais, ceci ne veux
pas dire la soumission aveugle à la folie, à l’injustice ou à la
dictature. C’est cette soumission aveugle des citoyens aux lois injustes
qui a conduit à la seconde guerre mondiale avec la mort de 50 millions
de personnes. Vous êtes nés libres et vous devez vivre libres, donc :
n’ayez pas peur et si vous n’êtes pas malades : enlevez les masques,
sortez de chez vous comme vous le souhaitez et sans distanciation
sociale, mais faites-le pacifiquement et sans aucune violence. Les
professeurs Carl Heneghan et Tom Jefferson, épidémiologistes avec une
grande expertise dans la médecine basée sur les preuves, disent : «Il
n’y a aucune preuve scientifique pour soutenir la règle désastreuse de
deux mètres. Des recherches de mauvaise qualité sont utilisées pour
justifier une politique aux conséquences énormes pour nous tous».
15. Nous disons qu’il faut une réforme totale de l’OMS. Les
succès de l’OMS sont incontestables : des millions de vies ont été
sauvées grâce aux programmes de vaccination contre la variole et la
consommation de tabac a été réduite dans le monde. Mais, le problème
majeur de l’OMS est qu’elle est depuis plusieurs années financée à
80% par des entreprises (notamment des laboratoires pharmaceutiques) et
des donateurs privés (dont une fondation très connue) et les faits
s’accumulent : fausse alerte sur l’H1N1 sous l’influence des lobbies
pharmaceutiques, complaisance troublante envers le glyphosate que l’OMS
avait déclaré sans danger en dépit des victimes de l’herbicide,
aveuglement face aux conséquences de la pollution liée aux compagnies
pétrolières en Afrique, minoration des bilans humains des catastrophes
nucléaires de Tchernobyl à Fukushima et des désastres de
l’utilisation de munitions à uranium appauvri en Irak ou dans les
Balkans, non-reconnaissance de l’Artemisia pour protéger les intérêts
des entreprises pharmaceutiques malgré qu’elle a prouvé son
efficacité dans le traitement du paludisme. L’indépendance
de l’organisation est compromise tout à la fois par l’influence des
lobbies industriels -surtout pharmaceutiques- et par les intérêts de
ses États membres, en particulier : la Chine. Le président d’un pays a
dit : «Je pense que l’Organisation Mondiale de la Santé devrait avoir
honte parce qu’ils sont devenus les porte-paroles de la Chine».
L’institution de Genève, qui avait sous- estimé la menace Ebola (plus
de onze mille morts) est de surcroît accusée de négligence vis-à-vis
des maladies tropicales, au profit de marchés plus juteux. Une
enquête réalisée en 2016 (l’OMS dans les griffes des lobbyistes) a
livré une édifiante radiographie de l’OMS en dressant le portrait
d’une structure fragilisée, soumise à de multiples conflits
d’intérêts. Cette investigation a montré combien, à l’OMS, les
intérêts privés dominent les enjeux de santé publique. Il n’est pas
acceptable que l’argent qui la finance vienne principalement d’une seule
personne et qu’elle soit infiltrée par des lobbies. Récemment, l’OMS
s’est décrédibilisée encore plus en tombant dans le piège du Lancet
Gate alors qu’un simple étudiant aurait découvert la fraude. À
l’époque de la grippe H1N1 : le Docteur Wolfgang Wodarg, président de
la commission santé de l’Assemblée parlementaire du Conseil de
l’Europe, a critiqué l’influence de l’industrie pharmaceutique sur les
scientifiques et les fonctionnaires de l’OMS, déclarant qu’elle a
conduit à la situation où “inutilement des millions de personnes en
bonne santé étaient exposées au risque de vaccins mal testés” et
que, pour une souche de grippe, elle était “beaucoup moins nocive” que
toutes les épidémies de grippe précédentes. Il a eu totalement
raison puisque, plus tard, le vaccin a fait 1,500 victimes de
narcolepsie dont 80% des enfants, comme on va le voir. Il a aussi
reproché à l’OMS d’avoir alimenté la crainte d’une “fausse
pandémie”, l’a qualifiée de “l’un des plus grands scandales médicaux
de ce siècle” et a demandé l’ouverture d’une enquête. En
effet, les critères pour déclarer une pandémie (comme la
sévérité) ont été modifiés par l’OMS sous l’influence des lobbies
pharmaceutiques afin qu’ils puissent vendre les vaccins aux pays du
monde. Selon un rapport de l’Assemblée parlementaire du Conseil de
l’Europe sur le gestion de la grippe H1N1, y compris par l’OMS :
«gaspillage de fonds publics importants et existence de peurs
injustifiées relatives aux risques de santé…De graves lacunes ont
été identifiées en ce qui concerne la transparence des processus de
décision liés à la pandémie, ce qui soulève des préoccupations sur
l’éventuelle influence que l’industrie pharmaceutique aurait pu
exercer aux égards des principales décisions relatives à la
pandémie. L’Assemblée craint que ce manque de transparence et de
responsabilité ne fasse chuter la confiance des citoyens dans les avis
des grands organismes de santé publique». L’histoire se répète
aujourd’hui avec exactement les mêmes acteurs et la même compagne de
peur. L’ancien secrétaire général du département de santé publique
de l’OMS a révélé dans une autre enquête (TrustWHO) qu’à l’époque
de H1N1, personne n’avait peur à l’OMS et qu’il ne connaît personne à
l’OMS qui s’est fait vacciner, y compris l’ancienne directrice
générale : la Chinoise Margaret Chan. Bien qu’il soit un haut
responsable à l’OMS, il a été exclu ainsi que la plupart de ses
collègues d’une réunion entre la directrice générale et les
entreprises pharmaceutiques fabricatrices de vaccin avec comme motif :
«c’est une réunion privée»…
16.
Nous disons qu’il faut qu’une enquête soit ouverte et que certains
responsables de l’OMS soient interrogés en particulier celui qui a fait
la promotion internationale du confinement, qui est une hérésie d’un
point de vue médical et une arnaque qui a égaré le monde. En effet,
le 25 Février 2020 : le chef de la mission d’observation internationale
du coronavirus en Chine a loué la réponse apportée par Pékin à
l’épidémie. Il a dit que la Chine a réussi par des méthodes «à
l’ancienne», a souligné que «le monde avait besoin des leçons de la
Chine», qu’il faudrait s’en inspirer et que s’il avait la COVID-19, il
aimerait se faire soigner en Chine ! Une
fois, il a aussi qualifié la Chine de «très ouverte» et «très
transparente». Comment peut-on croire à ces déclarations ? Comment
peut-on croire que s’il avait la COVID-19, il irait se soigner en Chine ?
Comment peut-on croire que le monde doit s’inspirer de la Chine et que
la lutte de l’épidémie doit se faire avec des “méthodes à
l’ancienne” ? Ce
qui est hallucinant, c’est qu’il a réussi à faire avaler ses salades
au monde entier. Car malheureusement : depuis ses déclarations et le
rapport qu’il a supervisé (où on peut lire que les méthodes chinoises
sont : “agiles et ambitieuses”), les pays du monde ont mis en place des
mesures disproportionnées et ont suivi aveuglément l’OMS en confinant
leurs populations. La peur et la psychose ont été propagées en
présentant le SARS-CoV-2 comme un virus très dangereux ou à
mortalité massive alors que ce n’est absolument pas le cas. […]
Des élus Canadiens de la Chambre des communes ont même sommé ce
responsable de l’OMS à comparaître après qu’il eut refusé des
invitations à témoigner devant le comité permanent de la santé.
Même, le chef intérimaire du Parti conservateur Canadien a mis en
doute l’exactitude des données de l’OMS sur la COVID-19. En effet, dire
que la Chine a diminué le nombre de cas ou a bien géré l’épidémie
et a aplani la courbe grâce au confinement est un pur mensonge et n’est
basé sur aucune preuve car personne n’est capable de donner le chiffre
du nombre de cas ou de morts en Chine si elle n’avait pas appliqué le
confinement. […] La
folie a atteint le point où dans certains pays : des plages ont été
désinfectées avec de l’eau de javel, des pompiers moustachus et barbus
interdits de travail, des plexiglas ont été installés partout (même
dans les classes des écoles) comme si c’était la peste noire, un
train a été arrêté parce qu’une personne ne portait pas le masque,
des familles privées de voir leurs morts (comme si le virus allait
sauter du corps et les mordre), des septuagénaires verbalisées pour
être sorties jeter les poubelles et même des pièces de monnaie et des
billets de banque provenant de l’étranger ont été “isolés” ! Comment
les pays ont-ils pu accepter de tomber dans ce niveau de folie, de
stupidité et de dictature ? Surtout ceux qui se disent démocratiques.
Tout ça pour un virus qui entraîne 85% de formes bénignes et pour
lequel 99% des gens infectés guérissent. L’OMS a exhorté le monde à
copier la réponse de la Chine à la COVID-19 et elle a réussi ; chaque
pays du monde, en suivant aveuglément l’OMS, est devenu une copie
conforme de la Chine. Quelques pays seulement ont refusé d’imiter
bêtement les autres, comme la Suède ou la Biélorussie qui peuvent
être félicités. […]
17.
Nous disons qu’il faut arrêter de suivre aveuglément l’OMS car elle
n’est pas une société savante et loin d’être indépendante, comme on
l’a vu. Interrogée sur la raison de la décision de rendre 11 vaccins
obligatoires, une ancienne ministre de la santé d’un pays européen a
répondu : «C’est une décision de santé publique qui répond, en fait,
à un objectif mondial de l’OMS qui demande aujourd’hui à tous les
pays du monde d’obtenir 95% d’enfants vaccinés pour les vaccins
nécessaires». Nous
recommandons, aussi, aux gouvernements de bien choisir les experts qui
les conseillent et d’éviter ceux qui ont des liens avec les
laboratoires pharmaceutiques ; Un grand professeur en infectiologie a
fait cette remarque sur certains experts d’un pays européen : «Un
membre éminent de la commission Maladies transmissibles de ce Haut
Conseil a ainsi touché 90,741 euros de l’industrie pharmaceutique, dont
16,563 euros de [un laboratoire pharmaceutique qui produit une
molécule concurrente de l’hydroxychloroquine]. Or c’est ce Haut Conseil
qui a rendu le fameux avis interdisant l’hydroxychloroquine, sauf aux
mourants…je ne vois pas de trace dans cet avis du respect de la
procédure de gestion des conflits d’intérêts…Si un membre présente
un conflit d’intérêts majeur, il doit quitter la séance et ne pas
participer aux débats ni à la rédaction de l’avis…Or en bas de cet
avis, on ne mentionne pas les conflits d’intérêts ni le nombre de
membres qualifiés ayant participé au vote. C’est un grave manquement
au règlement». […]
18.
Nous disons aux gouvernements : ne suivez plus -dans les épidémies-
les modélisations mathématiques qui sont des choses virtuelles sans
lien avec la réalité et qui ont égaré le monde à plusieurs reprises
et ont servi de justification aux politiques folles de confinement. En
effet, une université européenne qui a des liens forts avec l’OMS
avait dit que : – 50,000 britanniques seront morts de la maladie de la vache folle alors qu’au final seulement 177 sont décédés. – la grippe aviaire allait tuer 200 millions de personnes alors que 282 seulement sont décédés. –
la grippe H1N1 allait tuer 65,000 britanniques alors que 457 seulement
sont décédés. Le taux de mortalité a été aussi exagéré alors que
la grippe H1N1 s’est révélée finalement beaucoup moins dangereuse,
ce qui a incité beaucoup de gens à dénoncer l’argent, le temps et les
ressources considérables déployés pour une grippe bénigne. À
l’époque, la presse a découvert que le recteur de cette université,
qui a conseillé l’OMS et les gouvernements, a reçu un salaire de
116,000 £ par an du fabricant de vaccin contre l’H1N1. Et
aujourd’hui, c’est sur la base du même modèle défectueux,
développé pour la planification de la pandémie de grippe, qu’ils ont
donné leurs prévisions astrologiques sur la COVID-19 ; ils ont dit que
500,000 mourront au Royaume-Uni, 2,2 millions aux Etats-Unis, 70,000 en
Suède et entre 300,000 et 500,000 en France ! Qui peut croire ces
chiffres fous ? C’est pour cela que le Professeur Didier Raoult qualifie
ces modélisations de : «forme moderne des divinations». Le
Professeur John Ashton a également dénoncé ces prédictions
astrologiques et le fait qu’elles aient une sorte de statut religieux.
De plus, la presse a découvert que celui qui, dans cette université, a
incité les gouvernements au confinement ne respecte même pas ce qui
leur préconisait. Là aussi, une enquête mérite, d’être menée
auprès de certains responsables de cette université européenne. Le
Professeur Jean-François Toussaint a dit à propos du confinement : «Il
faut à tout prix éviter qu’un quelconque gouvernement ne reprenne un
jour une telle décision. D’autant que l’instrumentalisation de la
pandémie avec des confinements généralisés pour la moitié de
l’humanité n’aura abouti qu’à renforcer les régimes autoritaires et
à suspendre les campagnes de prévention des grandes maladies
mortelles. En France, les simulations estimant que 60,000 vies ont été
sauvées sont de pures fantaisies». Le fameux slogan international :
«Restez chez vous, sauvez des vies» était une affirmation tout
simplement mensongère. Au contraire, le confinement a tué beaucoup de
gens.
19.
Nous REFUSONS l’obligation vaccinale et nous REFUSONS l’obligation d’un
certificat de vaccination contre le coronavirus pour voyager, pour les
raisons suivantes : –
Le vaccin n’est pas indispensable car 85% des formes sont bénignes,
99% des sujets infectés guérissent et les enfants ainsi que les femmes
enceintes ne sont pas des sujets à risque. De plus, une grande partie
de la population est déjà protégée contre le SARS-CoV-2 grâce à
l’immunité croisée acquise avec les coronavirus saisonniers. Dire
qu’on n’en est pas sûr est UN MENSONGE et émettre des doutes sur la
durée ou l’efficacité de cette protection est une manipulation visant
à protéger le business plan du vaccin. – C’est un virus à ARN, donc plus propice à des mutations et le vaccin risque d’être inefficace. –
Des essais de vaccin sont réalisés dans la précipitation et certains
appellent à accélérer les procédures de tests et à se passer des
habituels essais sur les comprendre les risques pour la sécurité
pourrait entraîner des revers injustifiés pendant la pandémie et à
l’avenir. – Les précédents essais de vaccins contre les coronavirus sont inquiétants : en
2004, l’un des vaccins mis au point contre le SRAS avait provoqué une
hépatite chez les animaux sur lesquels il avait été testé. Un autre
vaccin en phase de test avait causé de graves lésions pulmonaires aux
animaux de laboratoire, les rendant plus fragiles à de futures
infections. Des vaccins développés contre un autre coronavirus, le
virus de la péritonite infectieuse féline, augmentaient le risque pour
les chats de développer la maladie causée par le virus. Des
phénomènes similaires ont été observés dans des études animales
pour d’autres virus, y compris le coronavirus qui cause le SRAS. –
Certains vaccins sont testés par des entreprises qui n’ont aucune
expérience dans la fabrication et la commercialisation des vaccins et
qui utilisent des technologies nouvelles en médecine dont on ne
connaît ni les bénéfices ni les risques pour la santé. –
La recherche de profit financier de nombreuses entreprises
pharmaceutiques aux dépens de la santé des populations (sans
généraliser bien sûr sur la totalité). Le
patron d’une entreprise pharmaceutique a dit devant ses actionnaires
lors de la grippe H1N1 : «Ce vaccin, ça sera une opportunité
significative en termes de revenus. C’est un joli coup de fouet pour
nous, pour le chiffre d’affaires et pour le cash flow». L’ancien
ministre de la santé d’un pays européen a déclaré le 23 Mai 2020 :
«Quand il y a une épidémie comme le COVID, nous on voit : mortalité,
quand on est médecin,…ou on voit : souffrance. Et il y a des gens qui
voient : dollars…vous avez des grands laboratoires qui disent : c’est le
moment ou jamais de gagner des milliards». Le
16 Juin 2020, le Professeur Christian Perronne, spécialiste des
maladies infectieuses, a dit sur Sud Radio à propos du vaccin contre le
coronavirus : «On n’en a aucun besoin…Tout ça, c’est une histoire
purement commerciale». Le site internet du magazine Nexus a publié le
07 Août l’avis du Docteur Pierre Cave qui dit : «L’épidémie est
terminée en France…en tant que médecin, je n’hésite pas à anticiper
les décisions du gouvernement : Il faut non seulement refuser ces
vaccins [contre la COVID-19], mais dénoncer et condamner la démarche
purement mercantile et le cynisme abject qui ont guidé leur
production». – Les violations éthiques scandaleuses dans de nombreux essais cliniques : comme
les pays occidentaux ne leur permettent pas de violer les principes
éthiques, de nombreux laboratoires pharmaceutiques (sans généraliser
sur la totalité) réalisent leurs essais cliniques de médicaments et
de vaccins dans les pays en développement ou pauvres où des
expériences sont menées sur des gens sans qu’ils en aient la moindre
connaissance et sans leur consentement. Le rapport rédigé par Irene
Schipper (SOMO briefing paper on ethics in clinical trials) a montré
des manquements éthiques choquants et très graves ; dans un essai
clinique, par exemple, des femmes Africaines ont contracté le VIH et
sont devenues ensuite malades du SIDA. Cet essai clinique a été
financé par une fondation ainsi qu’un laboratoire très connus. Dans
certains pays, ces essais cliniques scandaleux ont été accomplis avec
la complicité des autorités locales sur fond de conflits d’intérêts. –
Une entreprise pharmaceutique : AstraZeneca a conclu un accord avec
plusieurs pays qui lui permet d’obtenir l’immunité de toute plainte
légale, au cas où le vaccin devait finalement montrer des effets
secondaires nocifs. En d’autres termes, ce sont les états et pas
AstraZeneca qui indemniseront les victimes, c’est-à-dire avec l’argent
des citoyens ! À ce propos, nous disons aux citoyens : Protestez
MASSIVEMENT contre cet accord scandaleux, honteux et profondément
injuste jusqu’à ce qu’il soit supprimé. Il faut refuser cette
utilisation IRRESPONSABLE de votre argent. Même des experts Belges ont
été «choqués» par cet accord. –
Les scandales des vaccins dangereux voire mortels élaborés en
période d’épidémie et on va citer deux exemples (nous ne sommes,
évidemment, pas des anti-vaccins puisque ça signifie remettre en cause
les découvertes d’Edward Jenner) : Le
scandale du vaccin contre l’H1N1 : il a été testé sur un faible
nombre de personnes et malgré cela, il a été commercialisé comme
étant sûr en 2009. Mais, un an après, des inquiétudes ont été
exprimées en Finlande et en Suède concernant une éventuelle
association entre la narcolepsie et le vaccin. Une étude de cohorte
ultérieure en Finlande a signalé un risque 13 fois plus élevé de
narcolepsie après la vaccination chez les enfants et les jeunes âgés
de 4 à 19 ans, dont la plupart des cas étaient apparus dans les trois
mois suivant la vaccination et presque tous dans les six mois. Il a
fallu attendre 2013 pour qu’une étude publiée dans le British Medical
Journal confirme ces résultats pour la Grande Bretagne, aussi37. Au
total, ce vaccin dangereux a entraîné 1,500 cas de narcolepsie rien
qu’en Europe et 80% des victimes sont des enfants. Une partie du
personnel médical du NHS vacciné a été touchée aussi par la
narcolepsie. […]
Peter Todd, un avocat qui représentait bon nombre des plaignants,
déclarait au Sunday Times: “Il n’y a jamais eu de cas comme celui-là
auparavant. Les victimes de ce vaccin sont incurables et à vie et
auront besoin de nombreux médicaments”. Parmi les enfants victimes du
vaccin : Josh Hadfield (huit ans), qui prend des médicaments anti-
narcolepsie coûtant 15,000 £ par an pour l’aider à rester éveillé
pendant la journée à l’école. […] Les familles ont subi un calvaire
qui a duré 7 ans pour obtenir gain de cause en justice. Et au lieu que
ça soit le laboratoire pharmaceutique qui les indemnise, c’est les
états qui l’ont fait, c’est-à-dire avec l’argent du citoyen ! […]
20.
Nous disons : STOP à toutes ces mesures folles, dictatoriales et
sûrement pas sanitaires et à cause desquelles des drames se produisent
chaque jour, […] 60,000 patients cancéreux risquent de décéder en
Angleterre à cause des retards de diagnostic et de traitement selon le
Professeur Karol Sikora, 12,000 personnes dans le monde risquent de
mourir chaque jour de la faim (selon Oxfam), le nombre d’arrêts
cardiaques a été multiplié par deux dans certains pays, des
entreprises tombent en faillite, 305 millions d’emplois à plein temps
sont détruits – touchant particulièrement les femmes et les jeunes-
selon l’organisation internationale du travail, un homme est mort à
cause du masque aux Etats-Unis, etc. […]
21.
Nous disons aux gouvernements : TOUT doit revenir immédiatement à
l’état normal (y compris la ré-ouverture des services hospitaliers, du
transport aérien, de l’économie, des écoles et des universités) et
cette prise d’otages mondiale doit cesser car vous avez su, preuves à
l’appui, que vous comme les citoyens, vous avez été victimes de la
plus grande arnaque sanitaire du 21e siècle. Le
professeur Carl Heneghan a déclaré le 23 août que la peur qui
empêche le pays de revenir à la normale n’est pas fondée, selon
l’Express. Les Professeurs Karina Reiss et Sucharit Bhakdi ont sorti, en
Juin, un livre appelé : «Corona : fausse alarme ?»45. Le maire d’une
ville en Europe a déclaré : «Le climat diffusé sur [le sujet du
coronavirus] est particulièrement lourd et devient suspect». Le Docteur
Olivier Chailley a écrit un livre intitulé : «Le virus de la peur ou
comment le monde entier est devenu fou». Le Professeur Sucharit Bhakdi
(qui a écrit, aussi, une lettre à Angela Merkel) a dit à propos des
mesures prises, y compris celles du confinement : “mesures grotesques,
absurdes et très dangereuses…un impact horrible sur l’économie
mondiale…auto- destruction et suicide collectif…”. Une enquête
internationale et indépendante doit être ouverte et les responsables
doivent être jugés.
22.
Nous disons aux citoyens : pour vous maintenir dans le troupeau, il est
possible que certains vont essayer de nous discréditer par tous les
moyens, par exemple en nous accusant de conspirationnistes ou de
complotistes, etc. Ne les écoutez pas, ce sont des MENTEURS car les
informations qu’on vous a données sont : médicales, scientifiques et
documentées.
23.
Nous disons aux citoyens : cette lettre ne doit pas vous pousser à la
violence envers qui que ce soit. Réagissez pacifiquement. Et si un
professionnel de santé signataire de cette lettre sera attaqué ou
diffamé ou menacé ou persécuté : soutenez-le MASSIVEMENT. Chers
citoyens : beaucoup de scientifiques, d’éminents professeurs de
médecine et de professionnels de santé à travers le monde ont
dénoncé ce qui se passe et il est temps de vous réveiller ! Si vous
ne dites rien, de nouvelles mesures dictatoriales «made in China» seront
imposées. Vous devez REFUSER ça. Nous vous assurons que ces mesures
n’ont rien à voir avec la médecine ou l’hygiène ou la préservation
de la santé publique, c’est de la dictature et de la folie. Le Docteur
Anders Tegnell a dit : «Le monde est devenu fou» en mettant en place les
confinements qui «vont à l’encontre de ce que l’on sait sur la gestion
des pandémies de virus».
24.
Nous invitons les professionnels de santé du MONDE ENTIER à être
forts et courageux et à faire leur devoir de dire la vérité, à nous
rejoindre MASSIVEMENT dans le collectif : United Health Professionnals
et à signer cette lettre en envoyant les 4 informations suivantes :
prénom, nom, profession et pays à : join.unitedhealthprofessionals@gmail.com La liste des signataires sera mise à jour régulièrement.
SIGNATAIRES : Professor Martin Haditsh, microbiology, infectious disease and tropical medicine specialist, Austria Ghislaine Gigot, general practitioner, France François Pesty, pharmacist, France Catherine Raulin, general practitioner, France Laurent Hervieux, general practitioner, France Geneviève Magnan, nurse, France Jean-Pierre Eudier, dental surgeon, Luxembourg Andrée Van Den Borre, dental surgeon, Belgium Mauricio Castillo, anesthesiologist and intensive care physician, Chile Marie-Claude Luley-Leroide, general practitioner, France Daniele Joulin, general practitioner, France Mohamed Zelmat, clinical biologist, France Nadine Blondel, nurse, France Hélène Banoun, clinical biologist, France Estelle Ammar, speech therapist, France Caroline Durieu, general practitioner, Belgium Doris Stucki, psychiatrist, Switzerland Jessica Leddy, licensed acupuncturist, United States of America Fabien Quedeville, general practitioner, France Michel Angles, general practitioner, France Dominique Carpentier, general practitioner, France Christophe Cornil, plastic surgeon, France Pierre Brihaye, ear, nose and throat specialist, Belgium Elizabeth Luttrell, certified nursing assistant, United States of America Tasha Clyde, nurse, United States of America Walter Weber, internal medicine and oncology specialist, Germany Professor Pierre-Francois Laterre, anesthesiologist and intensive care physician, Belgium Sylvie Lathoud, clinical psychologist, France Karim Boudjedir, hematologist, France Caroline Heisch, osteopath, France Eric Blin, physiotherapist, France Vincent Schmutz, dental surgeon, France Zieciak WB, ears nose and throat surgeon, South Africa Virginie Merlin, nurse, Belgium Gabriel Brieuc, anesthesiologist, Belgium Marie-José Eck, general practitioner, France Patricia Grasteau, nursing assistive personnel, France Christine Villeneuve, psychotherapist, France Philippe Voche, plastic surgeon, France Gérard Bossu, osteopath, France Elaine Walker, emergency medicine physician, United States of America Richard Amerling, nephrologist, United States of America Phil Thomas, general practitioner, South Africa Manfred Horst, allergologist and immunologist, France Sybille Burtin, public health physician, France Chantal Berge, nurse, France Denis Agret, emergency medicine and public health physician, France Mélanie Dechamps, intensive care physician, Belgium Prosper Aimé Seme Ntomba, dental surgeon, Cameroon Sandrine Lejong, pharmacist, Belgium Professor Jan Zaloudik, surgical oncology, Czech Republic Cerise Gaugain, midwife, France Delphine Balique, midwife, France Marion Campo, midwife, France Olivier Chailley, cardiologist, France Johan Sérot, physiotherapist, France Arlette Fauvelle, pharmacist, Belgium Farooq Salman, ear, nose and throat specialist, Irak Olga Goodman, Rheumatologist, United States of America Pascal Leblond, nurse, France Sybille Morel, nurse, France Marie-Thérèse Nizier, physiotherapist, France Graziella Mercy, nurse, France Pierre Maugeais, general practitioner, France Carrie Madej, internal medicine specialist, United States of America Victor Gomez Saviñon, cardiac surgeon, Mexico Martin Boucher, nurse, Canada Evelyne Nicolle, pharmacist, France Agnès Dupond, general practitioner, France Azad Mitha, general practitioner, France Ines Heller, physiotherapist, France Marie Laravine, nurse, France Khaleel Kareem, anesthesiologist and intensive care physician, Irak Tonya Davis, certified nursing assistant, United States of America Mary Baty, dental hygienist, United States of America Luis Angel Ponce Torres, physician, Peru Texte complet en version pdf (français)