8/31/2020

Hommage à Bernard Stiegler | « Panser signifie nuire à la bêtise » et à la lâcheté


Hommage à Bernard Stiegler | « Panser signifie nuire à la bêtise » et à la lâcheté #6

Bernard Stiegler, philosophe français, dans sa maison à Epineuil-le-Fleuriel (Cher) le 10/07/2017 © Joseph Melin
Bernard Stiegler est mort. Il n’est pas exagéré de dire que la philosophie (française) en est dévastée. Au sens propre de ce terme : là où Stiegler se tenait singulièrement, se tient désormais un vide inouï. Le désert croît, et ne cessera de croître. La grande séquence philosophique française des années 60, à laquelle Stiegler, s’il n’y appartenait pas déjà, était le plus ardent héritier, touche à sa fin. Il faut le regretter. D’autant plus que ce qui se prépare après sera ni plus ni moins que le règne du quelconque, et de la bêtise rendue systémique (que Stiegler avait diagnostiqué dans Etats de chocs. Bêtise et savoir au XXI° siècle). La philosophie n’y échappera pas : elle est déjà pleinement affectée. Tout le discours sur la mort de la philosophie, sur son incapacité à forger des propositions d’orientation pour la pensée, la vie ou la politique ; tout ce qui, en elle, la mésestime, la discrédite – voilà déjà des mots stieglériens ! –, au profit d’autres disciplines pouvant, dit-on, la supplanter (comme s’il y avait à opposer l’anthropologie, l’ethnologie, la sociologie, et la philosophie!), en vertu des nouvelles modes de la fashion week culturelle (lesquelles ne dureront pas plus qu’une saison printemps-été) ; tout ce qui, encore, la cantonne à n’être qu’une spiritualité méditante qui conviendrait à tous les anxieux de la Terre ; ou pis encore, ce qui, la niant, avec toute l’ironie et la dérision dont le nihilisme mondain est capable, veut en faire un instrument d’happening, ou de sémiologie du dérisoire ; tout cela abêtit la philosophie, et ne la destine à n’être rien de plus qu’une rubrique journalistique. Si Stiegler laisse dès lors un paysage dévasté derrière lui, c’est au sens où bientôt ce seront les falsificateurs (les apôtres de la post-vérité, qu’il critiquait tant!), les lâches et les crétins (soit ceux qui, n’ayant pas le courage de penser, découragent ceux qui pensent de penser), qui deviendront les gardiens de ce continent à la dérive. Que les derniers capitaines d’espoir (Nancy, Badiou, Rancière, Balibar, Milner…) tiennent bon d’ici là ! Et que la relève s’assure et s’assume pour éviter le pire !
« Etats de choc : Bêtise et savoir au XXIe siècle », Bernard Stiegler (Mille et Une Nuits, 2012)
Avant d’en venir au fond des choses, j’aimerais dire ce que Stiegler évoquait pour moi – ou pour certains de ma génération de trentenaires. Et ce qu’il évoquait, avant toute chose, c’était le courage de la pensée, la vie comme force de proposition, la ténacité et la persévérance comme mode d’existence. « Je soutiens que… » : le verbe « soutenir » hantait sa langue et son écriture ; il se soutenait en soutenant des hypothèses, en cherchant un arsenal conceptuel pour mener la guerre à son temps de bêtise. Constat : « face à la catastrophe en cours : – nous sommes gravement désarmés ; – il est urgent de reconstituer notre arsenal conceptuel »[1]. Tous les pense-petit s’en offusquaient : Stiegler était « trop » – trop philosophe, trop conceptuel, trop jargonneux ; il était trop aux yeux de ceux qui ne sont pas assez, c’est-à-dire pas assez digne de la philosophie, pour savoir qu’elle ne les a pas attendue pour recevoir les compte-rendus des petits inspecteurs des travaux finis, devenus inspecteurs pour n’avoir pas les moyens de devenir des investigateurs, c’est-à-dire des pa/enseurs. Puisque penser n’est pas panser, pour eux (oh le vilain jeu de mots qui suffit, comme toujours, pour tous ces impuissants, à discréditer une pensée!), penser, c’est dès lors déprécier, ironiser, abêtir, rabaisser à leur bassesse ; et donc, tout sauf penser, mais à la rigueur, ré-fléchir, au sens de faire fléchir tout ce qui s’élève au-dessus d’eux (soit, à peu près tout). Si ma plume est si méchante, c’est que ce qui arrivera après la pensée de nos maîtres, est l’apensée, la destruction de toute pensée, sa privation ou son impossibilisation par les lâches ricaneurs.
Autrement dit, rien n’arrivera sinon ce que Stiegler annonçait déjà sous le terme d’ « anthropie »[2]. Qu’est-ce que l’anthropie ? Terme forgé sur l’homophonie d’avec « entropie » (concept de la thermodynamique exprimant la tendance pour l’énergie de se dégrader et de se disperser), il indique la manière dont l’humanité – anthropos , « l’homme » – crée une dynamique destructrice, tant au niveau de l’esprit (destruction de l’attention, de l’individuation et de la transindividuation, toxicité des dépendances aux techniques amenant à la dépression), que de l’environnement. L’anthropie est donc la tendance fondamentale de l’Anthropocène, entendu, selon la conceptualité stieglerienne, comme Entropocène, c’est-à-dire période géologique où la technique humaine a dégradé non seulement nos capacités noétiques (de pensée), mais encore l’habitat de vie des vivants. Dès lors, la bêtise, dont je parlais, tout à l’heure, et qui règnera, si elle ne règne pas déjà, en maîtresse sur l’im-monde qui vient, est conditionnée par l’anthropie de notre époque.
Ce à quoi nous assistons, par conséquent, c’est à une destruction réglée de la pensée et du monde. Stiegler n’envisageait pas simplement l’écologie comme relation du vivant à son milieu naturel, mais également comme « écologie de l’esprit »[3], relation du vivant humain à son environnement technique. Il n’y a pas à opposer les écosystèmes de la Nature aux sociétés de culture, puisque l’écologie qui cherche à préserver les premiers est mise sous condition de la seconde, en ceci que cette dernière est le lieu ou l’élément de l’anthropie, et donc de l’Entropocène, lesquels sont la cause de l’anéantissement de la vie terrestre. Dès lors, si l’anthropie détermine l’Anthropocène, c’est que l’écologie de l’esprit détermine l’écologie naturelle. Autre version pour dire : que la régression psychique humaine, causée par la disruption (le web comme instrument du consumérisme, etc.), la conduit à se suicider, par cette compulsion d’achat – la fameuse fièvre acheteuse – congénitale à une pulsion de mort, pour ceci que ce consumérisme nécessite la dépense d’énergie inutile et polluante (pétrole pour faire un pull, kérosène pour l’acheminer de manière aérienne, etc.) déréglant le climat, et par conséquent, l’équilibre de la vie sur Terre. Il n’y aura donc d’écologie politique, digne de ce nom, que si l’on commence à panser cette relation de l’individu à son milieu technique, lieu de toutes les addictions de consommation, provoquées par le « psychopouvoir » du numérique ou de la publicité, et pilotant les individus à n’être rien de plus que des consommateurs, c’est-à-dire de proche en loin, à n’être rien de moins que les propres destructeurs de leur milieu naturel de vie et d’existence. Une écologie de l’esprit tendrait ainsi à faire de l’économie libidinale, conditionnant l’économie politique, non pas une alliée de l’anthropie, mais une alliée de la néguanthropie, permettant de mettre un terme, ou à tout le moins, de mettre un coup d’arrêt à la marche funèbre de l’Entropocène. La néguantropie indique ainsi, chez Stiegler, l’anthropie négative, soit la capacité positive pour un individu ou un collectif de s’organiser et de produire une énergie afin de nous sauver du danger qui croît.
Jacques Derrida chez lui, Ris-Orangis, mars 2004. © Laure Vasconi
Ce qu’il y a d’admirable dans les travaux de Stiegler, dans son œuvre, c’est qu’il n’a pas simplement été, dans la droite ligne de Derrida, un grand déconstructeur de la philosophie, ruinant les oppositions figées et abêtissantes de la tradition, mais aussi l’archéologue des restes irréductibles restant à penser afin de panser le monde qui vient. Déconstructeur, il fut donc également restitueur. En tant que restituer, c’est aussi proposer et non pas seulement s’opposer ; c’est affirmer, et non pas seulement infirmer. Partout a-t-il cherché, dans tous les domaines du savoir (la biologie, la physique, l’informatique, etc.), ce qui était resté en reste à la philosophie, afin de l’en nourrir, de l’en aviver, de l’en inspirer, de resituer le débat, de l’innerver jusqu’à son point névralgique, et ce, en vue d’endiguer la destruction systémique à l’œuvre. Que nous reste-t-il à penser et à panser ? Qu’est-ce qui demeure en reste à la pensée pour se dépasser et éviter le désastre ? Ce sont ces questions qui animèrent, de toujours, Bernard Stiegler, et qui l’amenèrent à s’aventurer sur tant de terrains sur lesquels les philosophes ne s’aventuraient pas. Sonder ce qui reste à panser, la restance de la pensée comme ce qui demeure à inventer pour prendre soin des générations à venir, était la manière dont Stiegler résistait. Car ce qui reste résiste et persiste : penser ce qui subsiste en reste à la pensée, comme son dehors qui pourrait venir l’affecter pour la faire bifurquer (autre mot de Stiegler), c’était pour lui penser la résistance et panser pour résister.
Le crétin dira que ce ne sont que des mots. Je ne les justifierai pas. S’il n’était pas déjà pris dans la bêtise systémique – soit la haine de la pensée –, cela ne lui traverserait même pas l’esprit (ou ce qu’il en reste). Aussi pourrait-il apercevoir – mais pour cela, encore faudrait-il qu’il lise –, que tous ces concepts ont une nécessité. Chaque concept stieglérien – et Stiegler était une machine à créer des concepts, ou des idiomes pour répondre, justement, des et aux problèmes de son temps – s’inscrit dans un système de pensée où l’anthropie figure le point nodal de celui-ci. Pierre de touche de tant de concepts stieglériens (disruption, mécroissance, prolétarisation, consumérisme, addiction, automatisation, misère symbolique, etc.), l’anthropie lui permettait de diagnostiquer la maladie époquale du présent, maladie humaine, trop humaine, qu’il tentait d’inverser ou de réfréner par ce qu’il appelait de toujours : la pharmacologie positive, thérapeutique alternative au système actuel de l’économie disruptive et entropique (cette économie, donc, de l’accélération de l’innovation prenant le pouvoir sur nos esprits, par tant de procédés de captation de l’attention nous abêtissant – ce qu’on appelle la gamification ou ludification –, ou d’automatisation nous vidant de nos savoir-faire).
« De la misère symbolique », Bernard Stiegler (Champs-Essais Flammarion, 2013)
Son style – presque un non-style, si l’on peut dire, nerveux, sec, peu enrobé ni affecté, rugueux et quasi-austère (son amour de Luther, et de la Réforme protestante s’y reconnaissait) – figure cette tentative : à lire Stiegler, on constate qu’en plus d’être un grand lecteur de la tradition philosophique (mais pas que !, également historique, technique, scientifique, etc.), il est aussi un lecteur de lui-même. A chaque livre, il branche l’essai qu’il écrit, et le marque et le souligne, à son système tout entier : il crée par là des embranchements, des réseaux signifiants, de résistance, comme autant de résistances électriques cherchant à empêcher la disruption du système (« mes livres veulent servir des luttes », écrivait-il dans De la misère symbolique) ; il couple les concepts entre eux, pénètre toujours davantage dans les boyaux de l’impensé en éclairant cette trouée ou ce frayage par les flambeaux conceptuels qu’il a laissés dans sa traversée en amont de sa galerie en forme de galère. L’œuvre de Stiegler est une œuvre de frayage : un travail monstrueux, nécessitant tant de courage, un travail de sape et de refondation inouï, qui l’aura aussi emporté (il ne faut pas se voiler les yeux), même si dans sa mort elle-même, il nous aura démontré encore une fois tout son courage.
Désormais, il nous faut – c’est un impératif ! – avoir son courage, le courage de sa pensée, soit le courage de panser, le courage de sa parrêsia, c’est-à-dire de son « franc-parler », de son parler-vrai, de son éthique de vérité. Le courage était son mot et sa chose, car pour la pensée, écrivait-il : « (…) le courage est requis. Le courage est ce qui craint un danger sans en avoir peur, c’est-à-dire : sans chercher à lui échapper, mais en le combattant comme tel. Ce combat comme tel (…), c’est ce qu’après le 11 septembre 2001 j’ai appelé la pharmacologie. Le courage de cette pensée qui panse est précisément celui de la parrêsia. »[4] Qu’importe si des crétins détestent le « il faut », ne sachant pas ce qu’il y a de fragile et de risqué dans cette injonction – puisque « falloir » a la même étymologie que « faillir » – ; car pour pouvoir écrire « il faut », pour pouvoir saisir l’injonction de pensée et d’action d’une époque, il en faut du courage, et beaucoup de courage, pour ne pas défaillir devant le poids écrasant de la charge. Ceux qui soutiennent, sans rien soutenir comme responsabilité (ni comme orientation de pensée), que la philosophie doit cesser avec ce « il faut », ceux-là même n’ont pas commencé à penser, et à penser ce que signifie, au sens de Stiegler : panser[5]. Il nous faut nous tenir à sa hauteur, c’est-à-dire à la hauteur de l’urgence de notre époque en détresse, sans nous décourager, afin de nuire à sa bêtise, en cela que « nuire à la bêtise est d’abord combattre la lâcheté »[6]. Bernard Stiegler sera, en vue de cette tâche, notre meilleur frère d’armes, notre meilleur allié.
© Valentin Husson

*Le titre est un extrait de Stiegler, Qu’appelle-t-on panser ? 1. L’immense régression, Paris, LLL, 2018, p.311
[1] Stiegler, Etats de chocs. Bêtise et savoir au XXI° siècle, Paris, Mille et une nuits, 2012, p. 58.
[2] Stiegler, Qu’appelle-t-on panser ?, op.cit., p.19.
[3] Stiegler, « L’hyperindustrialisation de la culture et le temps des attrapesnigauds. Manifeste pour une « écologie de l’esprit » », Art press.
[4] Stiegler, Qu’appelle-t-on panser ?, op.cit., p.7.
[5] En cela, faudrait-il appeler crétin : toute personne qui, impuissante pour soutenir toute responsabilité de la pensée, tente de rendre impuissante toute personne qui essaye d’en endosser la charge et le poids. Le crétin, non seulement ne peut pas ne pas se signaler comme crétin, mais ne peut pas ne pas abêtir ceux qui font. Esprit de vengeance : le crétin abaisse pour n’être point en mesure de s’élever à la hauteur des responsabilités. D’où sa dérision constante : il lui faut ricaner de tout pour ne rien avoir à prendre au sérieux. Le crétin est un lâche, ni plus ni moins.
[6] Stiegler, Qu’appelle-t-on panser ?, p.237. Ce qu’il disait dans De la misère symbolique (p.194) ainsi : «  la pensée est plus que jamais ce dont la vertu première est justement le courage. »

Un Philosophe

top art forgery detective


Jamie Martin in the offices of Sotheby’s in New York

How to spot a perfect fake: the world’s top art forgery detective

Jamie Martin in the offices of Sotheby’s in New York. Photograph: Joshua Bright/The Guardian
Forgeries have got so good – and so costly – that Sotheby’s has brought in its own in-house fraud-busting expert. By Samanth Subramanian

The unravelling of a string of shocking old master forgeries began in the winter of 2015, when French police appeared at a gallery in Aix-en-Provence and seized a painting from display. Venus, by the German Renaissance master Lucas Cranach the Elder, to describe the work more fully: oil on oak, 38cm by 25cm, and dated to 1531. Purchased in 2013 by the Prince of Liechtenstein for about £6m, Venus was the inescapable star of the exhibition of works from his collection; she glowed on the cover of the catalogue. But an anonymous tip to the police suggested she was, in fact, a modern fake – so they scooped her up and took her away.
The painting had been placed in the market by Giuliano Ruffini, a French collector, and its seizure hoisted the first flag of concern about a wave of impeccable fakes. Ruffini has sold at least 25 works, their sale values totalling about £179m, and doubts now shadow every one of these paintings. The authenticity of four, in particular, including the Cranach, has been contested; the art historian Bendor Grosvenor said they may turn out to be “the best old master fakes the world has ever seen.” Ruffini, who remains the subject of a French police investigation, has denied presenting these paintings as old masters at all. To the Art Newspaper, he protested: “I am a collector, not an expert.”
The quality of these paintings – their faithful duplicity – jolted the market. The sums of money at stake in art, never paltry to begin with, have grown monstrous. Thirty years ago, the highest auction price for a painting was $10.4m, paid by the J Paul Getty Museum for Andrea Mantegna’s Adoration of the Magi in 1985. In contrast, while the $450m paid for Leonardo da Vinci’s Salvator Mundi in 2017 counts as an outlier, abstract expressionists and impressionists frequently come, in auctions or private deals, with nine-figure price tags.
Advertisement
In lockstep, the incentive to be a proficient forger has soared; a single, expertly executed old master knockoff can finance a long, comfortable retirement. The technologies available to abet the aspiring forger have also improved. Naturally, then, the frauds are getting better, touching off a crisis of authentication for the institutions of the art world: the museums and galleries and auction houses and experts who are expected to know the real thing from its imitation.
What was most unnerving about the alleged fakes sold by Ruffini was how many people they fooled. The National Gallery in London displayed a small oil painting thought to be by the 16th-century artist Orazio Gentileschi – a battle-weary David, painted on an electric-blue slice of lapis lazuli; the work is now suspect. A portrait of a nobleman against a muddy background was sold by Sotheby’s in 2011, to a private collector, as a Frans Hals; the buyer paid £8.5m. Sotheby’s also sold an oil named Saint Jerome, attributed to the 16th-century artist Parmigianino, in a 2012 auction, for $842,500. With care, the catalogue only ventured that the work was from the “circle of” Parmigianino– an idiom to convey that it was painted by an artist influenced by, and perhaps a pupil of, Parmigianino. But the entry also cited several experts who believed it was by Parmigianino himself.
The works were full of striking, scrupulous detail. On Jerome’s arm, for example, dozens of faint horizontal cracks have appeared; every so often, a clean, vertical split intersects them. In French canvases from the 18th century, cracks in paint tend to develop like spider webs; in Flemish panels, like tree bark. In Italian paintings of the Renaissance, the patterns resemble rows of untidy brickwork. On the Saint Jerome, the cracks match perfectly. Prof David Ekserdjian, one of the few art historians who doubted that the painting was a Parmigianino, said he just didn’t feel the prickle of recognition that scholars claim as their gift: the intimacy with an artist that they liken to our ability to spot a friend in a crowd. “But I have to be frank, I didn’t look at it and say: ‘Oh, that’s a forgery.’”
Advertisement
When Sotheby’s sells an artwork, it offers a five-year guarantee of refund if the object proves to be a counterfeit – “a modern forgery intended to deceive”, as its terms specify. In 2016, after uncertainty crackled over the Hals and the Parmigianino, the auction-house sent them to Orion Analytical, a conservation science lab in Williamstown, Massachusetts. Orion was run, and staffed almost solely by, James Martin, who has loaned his forensic skills to the FBI for many art forgery investigations. Within days, Martin had an answer for Sotheby’s: both the Hals and the Parmigianino were fakes.
The “Hals” contained synthetic pigments that the artist, in the 17th century, could not have used. In Saint Jerome, similarly, Martin found phthalocyanine green, a pigment first synthesised four centuries after Parmigianino died. It showed up consistently across 21 paint samples from various parts of the painting – “a bit like taking the pulse of a corpse 21 times,” Martin told the New York Times last year. Sotheby’s refunded both buyers, and filed suits against the sellers, demanding they return their proceeds from the sales.
In December 2016, in a signal of how attribution scandals have spooked the market, Sotheby’s took the unprecedented step of buying Orion Analytical, becoming the first auctioneer to have an in-house conservation and analysis unit. The company had seen enough disputes over attribution to mar its bottom line, its CEO, Tad Smith, said: “If you looked at earnings reports from a year or two ago, you’d see little blips here and there. These were expenses coming from settlements – not a slew, the number was small and statistically insignificant, but they’re expensive.” The cost of insurance that covers such settlements was also rising. With Martin in the building, “the pictures and other objects moving through Sotheby’s now have a much higher chance of being checked”, Smith said. Last year, Martin analysed more than $100m worth of artworks before they went under the hammer or into private sales. Sotheby’s employs him, in part, as a conservator, so he ministers to the health of the paintings and sculptures that pass through. But over the past two decades, Martin has also become the art world’s foremost forensic art detective. He has worked so many forgery cases with such success that he also serves Sotheby’s as a line of fortification against the swells of duff art lapping into the market.

The first major painting sold by Sotheby’s was also a Hals – a real one: Man in Black, a half-length portrait of a hatted gent. Until 1913, Sotheby’s had dealt in books for a century or thereabouts; art made up only a wan side business. In that year, though, a Sotheby’s partner found a Hals consigned to the firm, and rather than forwarding it to Christie’s, as was often the practice, decided to auction it. After a spirited contest of bids, Man in Black sold for £9,000 – a 26% rate of return per annum since Christie’s had last auctioned the work, in 1885, for around £5. It was the first signal, for Sotheby’s, that there was profit to be mined from paintings. Last year, it sold $5.5bn worth of art, jewellery and real estate.
Frans Hals Portrait of a Gentleman
The Frans Hals painting, Portrait of a Gentleman, supplied to Sotheby’s by Mark Weiss. It sold for a reported £8.5m ($10.8m) but was later declared fake. Photograph: Sotheby's
For Sotheby’s, the question of authenticity is not merely, or even primarily, academic. There is more at stake than a satisfying answer to the fundamental conundrum of whether authenticity matters at all – a debate that has been fought and refought in the history of western art. “If a fake is so expert that even after the most thorough and trustworthy examination its authenticity is still open to doubt,” the critic Aline Saarinen once wondered, “is it or is it not as satisfactory a work of art as if it were unequivocally genuine?” Typically, this debate comes to rest at the same place every time. Of course authenticity matters; to study a false Rembrandt as a true one would be to hobble our understanding of Rembrandt as an artist, and of the evolution of art. Now, however, the question’s philosophical whimsy has been replaced by financial urgency. At a time when the art market is synonymous with art itself, a lack of regard for attribution would derail a trade that traffics in the scarcity of authentic Rembrandts.
Leaving straight forgeries aside, any discussion about the “authenticity” of an artwork opens suddenly, like a trapdoor, into the murk of semantics. On the sliding scale of attribution that art historians use – painted by; hand of; studio of; circle of; style of; copy of – each step takes the artist farther from the painting. These variations, often subtle, are compounded by the unease about overpainting; Salvator Mundi had been worked over so many times and so heavily, critics argued, that it was less by Da Vinci than by his restorers. Deliberate fakes, misattributions and poor restorations all encroach into the realm of the authentic. In two decades at the Met in New York, Thomas Hoving, the museum’s director until 1977, must have examined at least 50,000 objects, he wrote in his book False Impressions. “I almost believe that there are as many bogus works as genuine ones.”
Advertisement
Like criminals of every stripe, modern forgers have kept easy pace with the techniques that attempt to trap them. The mismatch between the purported age of a painting and the true age of its ingredients is the workhorse of Martin’s technique. So forgers have grown more rigorous in their harvesting of materials, taking the trouble, for instance, to source wooden panels from furniture they know is dateable to the year of the fake they are creating. (The trick isn’t wholly new; Terenzio da Urbino, a 17th-century conman, scrabbled around for filthy old canvases and frames, cleaned them up, and turned them into “Raphaels”.) Forgers also test their own fakes to ensure they’ll pass. Wolfgang Beltracchi, a German artist who served three years in prison for forging paintings worth $45m, surveyed the chemical elements in his works by running them under X-ray fluorescence guns – the same handheld devices, resembling Star Trek phasers, that many art fairs now train upon their exhibits.
Georgina Adam, who wrote Dark Side of the Boom, a book about the art market’s excesses, told me that many forgers are sensibly choosing to falsify 20th-century painters, who used paints and canvases that can still be obtained, and whose abstractions are easier to imitate. “The technical skill needed to forge a Leonardo is colossal, but with someone like Modigliani, it isn’t,” she said. “Now, scholars will say it’s easy to distinguish, but the fact is that it’s just not that easy at all.” In January, in a celebrated Modigliani exhibition in Genoa, 20 out of 21 paintings were revealed to be counterfeits.
As the tide of money in the market has risen, making decisions about authenticity has turned into a fraught venture. Collectors, realising how much they stand to lose, are now happy to take scholars and connoisseurs – traditionally the final authorities on the authenticity of a work – to court for their mistakes. Realising that their reputations, as well as their bank balances, may wilt under the heat,these experts have begun to subtract themselves from the game entirely.
The estates of several 20th-century artists had once taken on the duty of resolving doubts over attribution, setting up authentication committees, consisting of experts or the artist’s former colleagues or friends – people expected to know the work best. In 2007, a collector named Joe Simon-Whelan sued the Andy Warhol estate’s authentication committee, claiming it had twice rejected a Warhol silkscreen he owned because it wanted to maintain scarcity in the Warhol market. Four years later, after spending $7m in legal fees, the estate dissolved the committee. The authentication boards of other modern artists – Jean-Michel Basquiat, Keith Haring, Roy Lichtenstein, Alexander Calder – have followed. Individual connoisseurs – as the art world calls its experts – won’t always challenge popular identifications, wrote the critic Jerry Saltz in a scorching essay on the vertiginous price of Salvator Mundi. They are reluctant to “rock the already splintering institutional boat. As in the wider world, where people sit by for fear of losing position, it’s no wonder that many old master experts are keeping quiet, not saying much of anything.”
The collapse of these committees feels like a victory of the market over the academy, like a blow to the very cause of trustworthy authentication. (In New York, a small band of lawyers is lobbying for legislation that will protect scholars from being sued merely for expressing their opinion.) In this void of opinion, Martin’s abilities – premised not on the mysterious instincts of connoisseurship, but on the verifiable results of the scientific process – have an even higher valence.
Martin, a tall man with lumber-beam shoulders, has a voice that never surpasses a murmur. He is a consummate nerd; find someone who looks at you the way Martin looks at his Fourier-transform infrared microscope. He trained as a conservator of paintings, but now he assays them: picks out their chemical constituents, inspects pigments and binders, peers under their washes of colour. From a painting’s materials, he can extract the vital detail of when it could, or could not, have been created.
The field of scientific art conservation is not a crowded one; Martin, who set up the first for-profit art lab in the US, has been consulted in nearly every major fraud case in the past 25 years, often working alongside the FBI or other investigators. When he is described as the premier forensic detective working in art today, the accolade comes not only from people such as John Cahill, a New York lawyer who has managed dozens of art transactions, and who called Martin “hands-down the best in the business,” but also from those on the other side of the fence, so to speak. Beltracchi, the German forger, told me that, after his arrest, he had seen an assortment of technical studies collected by the police and the prosecution. He remembered Martin’s well. “His reports contained the most accurate results. His reports were factually neutral and without unrealistic guesses.” By folding Martin into its staff, Sotheby’s has given itself a muscular chance to stamp out problems of attribution before they flare into spectacular, expensive affairs. But it’s hard not to feel, at the same time, that it has cornered a precious resource, at a moment when the art world needs him most.

Martin spent much of last year setting up a new lab in what used to be a photo studio on the fifth floor of the Sotheby’s headquarters in Manhattan. Soon, he will also have a London facility, in the building where the Beatles once recorded A Taste of Honey for the BBC. The New York lab, one large room, is as white and aseptic as a dentist’s clinic. Many of the cabinets are still empty, and the desk surfaces often bear nothing apart from one red pack of Martin’s Dentyne Fire gum. Outside the lab, above the lead-lined double doors, is a warning light; if it’s on, so too is the giant x-ray fluorescence machine, and no one is allowed in.
One Friday in mid-February, the room held only two items of art. A carved wooden chair sat on a counter; on a stand was a painting that, for reasons of confidentiality, may be described here only as “a late-19th century American work”. When a painting checks into the lab, it is first submitted to a visual examination in bright, white light; then the lamp is moved to one side, so that the light rakes over the surface at an angle, showing up restored or altered areas. The canvas in Martin’s lab was at the next stage; it had been photographed under ultraviolet and infrared, and then under x-rays to discover some of the painting’s chemical elements.
On a computer, one of Martin’s two colleagues cycled through the images. Under infrared, the painting’s browns and yellows and greens turned into shades of grey, but no spectral underdrawings peered back out. (Not that underdrawings would have suggested anything about authenticity one way or another; they’d merely have been a further nugget of information to consider.) Mapped for lead by the x-ray fluorescence unit, the painting looked faded and streaked with dark rust; the streaks betrayed where restorers had perhaps applied touchups with modern, lead-free paint. Mapped for calcium, the painting showed yellow-green splashes where conservators had made repairs with a calcium carbonate filler.
Not every object needs to move beyond these non-invasive phases. (At Orion, Martin was once able to unmask a fake Modigliani after seeing, under infrared, a faint grid, which had been drawn by a forger who wanted to guide his work.) If Martin has to disturb the painting, he will place it under a stereo microscope and, squinting through the two eyepieces, pick out a grain of paint with a scalpel. He demonstrated with a sample of phthalocyanine blue, a synthetic pigment he picked out of a box that held paint cakes of different colours. Working with the same steady, cautious manner in which he speaks, he teased out a particle smaller than the width of a human hair, flattened it gently, then nudged it on to a slim, small rectangle of metal, where it was held in place between two tiny diamonds.
“You don’t drink a lot of coffee before you do this,” he said, grimacing.
Cracks in the surface of a 16th-century painting as seen through Martin’s microscope.
Cracks in the surface of a 16th-century painting as seen through Martin’s microscope. Photograph: Joshua Bright/The Guardian
The metal plate then goes into the Fourier-transform infrared microscope, like a slide. The spectrometer pumps infrared light through the flecks of pigment; a computer analyses the light’s behavior and returns a tidy spectrum graph. Martin has looked at so many of these spectra that he recognises on sight the patterns thrown up by different pigments, but even if he didn’t, the computer could rifle through databases of the spectrum patterns of other known chemicals, find the nearest match, and tell Martin what, in this case, he already knew: that his sample was phthalocyanine blue.
By a system of triage – sorting, for instance, for artists with a high incidence of being faked in the past, or for works accompanied by scientific analysis reports that are suspiciously long – only a small percentage of the tens of thousands of objects passing through Sotheby’s is diverted to the lab. Martin thinks of them as patients showing symptoms. Sometimes, like a doctor doing general checkups, he will tour the galleries at Sotheby’s just before a sale, reading every work with a handheld infrared camera. In the past year, his lab has stopped several lots from going to market, preventing possible disputes after the sale. In one case, a painting valued at $7m was removed from sale after the lab found that it had been completely and irretrievably overpainted by a restorer. “An appraiser would’ve said it’s worthless,” Martin said. “So it wasn’t sold.”
The arduous process of Martin’s work divorces art from its aesthetic. It reduces compositions of great prestige or high beauty to their very particles; it frees Martin up to think of art as pure matter. In this way, he comes closer to the artist than anyone has before, often becoming only the second person to think as intensely about the materiality of the object, about the chemical nature of its pigments or the physical properties of its canvas. The art he analyses derives its worth from unique, flashing inspiration. His own talent, if anything, has more in common with the forger. It lies in his capacity to be unflashy but diligent – to perform a step time after time without a slackening of attention, to never leave a molecule unturned, to never conclude more about a work than what it tells him about itself.

When Martin turned 13, his father gifted him a microscope, a chemistry kit, and art lessons – a splendid piece of foreshadowing. He used them all, but he was particularly attracted to art. The family lived in Baltimore, and whenever they visited Washington DC, Martin spent his time at the National Museum of Natural History, drawing the dioramas, while the others wandered the capital. His father worked in army intelligence. “As a child, I’m not sure I understood what he did. I do remember being in airports and trying to guess who was a spy,” Martin said. He devoured detective stories and loves them still, particularly Patricia Cornwell’s novels about Kay Scarpetta, the forensic pathologist. “We both examine patients that cannot speak their past,” he said.
In a universe a twist away from ours, Martin might have become a forger himself. Late in his teens, he joined an art school where students were taught how to grind their own pigments and stretch their own canvases. For practice, he set up an easel in the Baltimore Museum of Art and copied the works he liked; he grew so accomplished that once, as he was leaving with his copy of William Merritt Chase’s Broken Jug, the museum director spotted him and asked if he was returning the painting to storage.
“I was very good technically,” Martin said, “but like most art forgers, I didn’t have my own creative way of doing things.” He thought he’d become an illustrator of medical textbooks, but then heard about a conservation programme at the Winterthur Museum in Delaware. The portfolio he submitted included his copy of the Chase, as well as of other painters – all at such a high level of craft, said Richard Wolbers, who taught him at Winterthur, “that we were blown away”. He was such a good copyist, in fact, that he was almost rejected. “Later, I heard that the committee worried that if they trained me to be a conservator and taught me all the science, I’d be a natural forger.”
After Winterthur, Martin was hired by the Clark Art Institute, a museum in Williamstown, Massachusetts, to conserve paintings. A couple of years later, he set up the museum’s first conservation lab, filled with equipment that he bought or begged from chemistry departments in nearby universities. At the time, in 1990, the apparatus of analysis – the microscopes, the spectroscopes, the infrared cameras – was bulky, expensive and difficult to operate. Few museums had their own labs, Martin said. “The Guggenheim, the Brooklyn Museum, MoMA [Museum of Modern Art], the museums in San Francisco – none of them had the facilities.”
In getting to know a painting, conservators in these museums relied first on the tactility of their craft – “listening to the sound of the swab on the canvas”, Martin said, or “feeling the pull of the swab in the varnish”. Most conservation departments owned microscopes, some perhaps even x-ray machines. But if they needed some serious technology – Fourier-transform infrared microscopes, say, or scanning electron microscopes – they could turn only to the lab in the Metropolitan Museum of Art, or to those in universities. Even then, an expert was still needed to interpret the data. “Small museums really didn’t have any place to go. Some people took paintings to the vet to get them x-rayed.”
Martin’s lab began by assisting conservators who had no equipment of their own. “If someone was trying to get a varnish off a painting and didn’t want to damage it by using a solvent that was too strong, they’d send me a sample,” he said. “I’d tell them: ‘It’s polyurethane. You’re not going to get it off.’ Or: ‘It’s shellac. You need to use alcohol.’” A conservator wondering if the strange sky in a landscape was overpaint – paint applied by later restorers – could mail Martin a tiny cross-section tweezed out of the work, so that he could examine it under a microscope. “We’d see the layers in the cross-section: varnish, varnish, varnish, then blue sky, then more varnish, then more sky. So we’d establish that the topmost layer of blue was overpaint.”
In its materials, an artwork holds its biography, so inevitably, Martin became an arbiter of authenticity. Nearly all of the privately owned art labs in Europe and the US have been founded in the past decade – not coincidentally, around the time that the world’s multi-millionaires realised how hollow their lives had been without art. But in the 1990s, at Clark, and then again at Orion, which he founded in 2000, Martin was often the sole resource for collectors and merchants.
James Martin using his stereo fluorescence microscope in his New York lab.
James Martin using his stereo fluorescence microscope in his New York lab. Photograph: Joshua Bright/The Guardian
Some of his stories from these years have the baroque pulpiness of Elmore Leonard plots. Martin narrates these with care; he is alive to the sensational aspects of his work, but by default, he wears an air of studious detachment. There were the two questionable gentlemen from Tel Aviv, who slipped a pair of paintings out of architects’ tubes, shook them open as if they were rugs, and asked him to confirm that they were Modiglianis. (They weren’t.) There was the client who sent Martin to test a painting at an auction house, claiming he wished to bid on it, but then also had Martin stop by a warehouse to assess “a horrible copy” of the same painting. (Martin now thinks the client wanted to know how close the fake was to the genuine work.) There were the two ferocious dogs chained near the front door of a house in Los Angeles, guarding the stolen Chinese sculptures held within. There was the collector who offered to fly Martin to an undisclosed location, have him picked up by a security detail, and bring him in to examine an old Mexican stele, a stone carving supposedly worth $50m. The night before his flight, Martin was unable to sleep, so he Googled the collector and found that he had recently been released from federal prison after serving time on weapons charges.
Next morning, Martin called the collector and turned down the case.
“Oh,” the collector said. “Did you read about the murders?”
“No,” Martin said. “What murders?” The collector, it turned out, had once been implicated in the killings of two people over a matter of Mexican steles. Martin never got on that plane.
The FBI first came to Martin in 1994. A suspicious number of works ascribed to the 19th-century artist William Aiken Walker, who often painted black sharecroppers in the American south, were emerging in the market. “They’d sell at really small country auctions for $5,000 or $10,000 – so low that nobody would pay for analysis,” Martin said. From the paintings, Martin sampled a yellow pigment called PY3, which had been manufactured in Germany and was not available to American artists until the late 1940s, decades after Walker died. Walker also used lead white paint, Martin found; the forger used zinc white. A former vitamin salesman named Charles Heller was eventually indicted for a spree of counterfeiting, but he pleaded guilty to lesser charges and served one year in prison.
With even a little study, a con artist would know not to use zinc white; some forgers go on to become diligent researchers, accessing technical journals and case studies to learn what experts search for. Martin recalled a painting once referred to him, around 3.5 sq metres in size and dated to 1932. In a first round of study, he discovered nothing amiss. But the work’s provenance – its documented history of ownership – was shaky, so he ran a second pass under a microscope. For most of a day, he scanned the painting in dime-sized increments, until his eyes dried up. Was anything embedded in the paint: dust, or hair, or an insect wing? Did the dirt look as if it had been smeared on deliberately? Finally, embedded in a speckle of blue, he found a slim fibre; with a scalpel, he snipped it off and subjected it to infrared spectroscopy. The fibre turned out to be polypropylene. Perhaps someone had worn a polar fleece while painting the forgery?
For a while, Martin cited this example in a two-day course he taught. Last year, though, he read a translation of Faussaire (or Forger), a French novel written in 2015 and containing a wealth of sound wisdom for forgers. “If you want to get hold of antique lead,” one character advises another, for instance, “then you can just pick up bits of it from the old buildings in Rome.” The same character warns of the dangers from “microparticles from your clothes … You must always work in an old smock. Never nylon or a modern apron.” Martin is convinced the detail came from his anecdote; it was one reason he decided to stop teaching his course altogether.
As a crime, art forgery can seem trifling – less a sinister outrage than a half-complete Robin Hood jape that merely robs the rich. After Beltracchi’s arrest in 2010, the Frankfurter Allgemeine called art forgery “the most moral way to embezzle €16m”; Der Spiegel noted that, unlike crooked bankers, Beltracchi hadn’t swindled the common man. But the crime can have real victims, and Martin has met so many of them that he has developed a gentle bedside manner to break bad news. He has seen people who used the money set aside for their children’s education to buy a painting, only to find it to be fake. “So we aren’t just talking rich people. In some situations, it’s a person’s whole life.”

The inflation of the art market, and its attendant litigiousness, imposes fierce pressures upon anyone called to judge the authenticity of an artwork. Martin’s harshest experience of this came during the bitter legal battle over the fate of the Knoedler gallery. The Knoedler, once New York’s oldest gallery, closed in 2011, days after Martin issued a report concluding that a Jackson Pollock it had sold for $17m was fake.
The bogus Pollock was only the inauguration of a scandal. Over 15 years, Knoedler had sourced and sold 40 paintings ascribed to a range of leading modern artists: Willem de Kooning, Mark Rothko, Richard Diebenkorn and Robert Motherwell, among others, earning roughly $80m in the process. When the ambiguity of the works’ provenance raised needles of suspicion, 10 buyers sued Knoedler and its director, Ann Freedman; all but one of these lawsuits have been settled out of court. In 2013, investigators learned that the forgeries had been painted by a Chinese immigrant, who was by then 73 years old, in his garage in Queens, and placed with Knoedler by an art dealer who pleaded guilty. Knoedler’s executives claimed they had no knowledge of the fraud, and argued that scholars had verified the works before sale.
In at least four of the lawsuits, which carried on for years, the plaintiffs hired Martin to test the paintings they had purchased. He found them all to be forgeries. A purported Rothko from 1956, which sold for $8.3m, used a ground layer of white paint between the canvas and the oils; through that decade, though, Rothko had used a transparent ground layer. In an apparent Pollock, the artist seemed to have misspelled his own signature as “Pollok”. Further, in 16 Knoedler paintings he analysed, Martin found the same ground layer of white paint and other anachronistic pigments repeating themselves across the works of several artists, as if Motherwell, De Kooning and Rothko had all travelled forward in time, met in a bar, and swapped tubes of paint.
A fake Mark Rothko painting is shown to the court during a trial in New York in 2016.
A fake Mark Rothko painting is shown to the court during a trial in New York in 2016. Photograph: AP
Eventually, Martin was proved right; when the FBI raided the Queens garage, it even found the tubs of white that had coated the canvas in the fake Rothko. But, until then, the trials were a torrid experience. Knoedler recruited experts to attack Martin in court. “They went after him with a vengeance, saying he’d soiled the evidence, accidentally or on purpose,” said the lawyer John Cahill, who represented some of Martin’s clients. Knoedler’s attorneys served six subpoenas on Martin, to extract more than 8,000 documents and emails related to the case. Instead of being an expert witness, he was forced to defend himself – the care and soundness of his methods, his very character – in court.
When Martin talks about the Knoedler trials, even the memory of the ordeal draws a look of horror on his face. “He’s a real boy scout, and his integrity means a lot to him, so he suffered,” Cahill said. It was an attempted impeachment of Martin’s whole career. “His entire power relies on being objective, on not being part of the party,” said Narayan Khandekar, who runs Harvard’s Straus Center for Conservation and Technical Studies. “He comes under a lot of pressure, because people have a lot of money at stake on the outcome of his analyses. But he’s been very, very brave to stand up and stay stolidly on track with what he does.”
Martin had always loved science for its ability to guide him in pursuit of truth, and he felt a deep distress when his objective facts were countered with dirty tricks and personal vilification. In 2016, after his clients settled with Knoedler, Martin found it difficult to return to work. He wanted to never have to provide expert testimony again, and to go away to paint for a while; he’d already primed a set of boards.
“It was surreal, what happened to me,” he said. “No scientist should have to go to through this.” When, later that year, negotiations began for Sotheby’s to buy Orion, Martin was ready to be cocooned within a larger institution. He’d rather probe works before they hit the market, he decided, than go through the acrimonious aftermath of a sale even once more. Above his desk in Sotheby’s, Martin keeps pinned a pair of sketches of himself from his time in the Knoedler courtroom, as if to remind himself of what he has gratefully left behind.

In conversation, Martin uses many homespun metaphors, but his favourite is that of the three-legged stool. Deciding the authorship of artworks, he says, relies on connoisseurship, technical analysis and provenance. He values the opinions of connoisseurs, considers them complementary to his own skills; his tests can definitively reveal if a painting is not by Da Vinci or Modigliani, but they are unable to affirm authorship, except in rare cases.
Science has a habit, though, of showing up the sagacity of scholars. In a 1932 trial in Berlin – the first in which a forensic exam was used to scrutinise art – two connoisseurs squabbled about the authenticity of a set of 33 canvases, all purportedly by Vincent van Gogh, all sold by an art dealer named Otto Wacker. It took a chemist, Martin de Wild, to trace resins in the paint that Van Gogh had never used, and to prove the paintings fake. Since then, the science has improved, even as human judgment has remained the same, vulnerable to the potential thrill of discovering new work, and to market pressures. During the Knoedler trial, Cahill remembered, one expert admitted that he couldn’t tell one Rothko canvas from another, or indeed whether a Rothko had been hung upside-down or right side up.
In any case, however fond he is of the three-legged stool, Martin may have to think soon of a different item of furniture. The humanities are in decline everywhere; in England, the art history A-level course came close to being abolished altogether in 2016. The populace of connoisseurs is thinning out. “In British art now, for a major artist like George Stubbs, there’s no recognised figure that we can all go to and say: ‘Is this by George Stubbs or not?’ Because various specialists have died recently, and there’s no one to replace them,” Bendor Grosvenor, the art historian, said. Meanwhile, researchers at Rutgers University have developed an AI system that, in tests, detected forged paintings with 100% accuracy by scanning and comparing individual brushstrokes. One leg is growing longer, another growing shorter, the stool becoming decidedly imbalanced. And so, if the art market wants to beat back the threats posed by sophisticated forgeries – if it wants to preserve its financial vigour, rooted as it is so absolutely in the notion of authenticity – it will have to turn more and more to the resources of science.
As a thought experiment, it is possible to envision the immaculate forgery – the one that defeats scientist and connoisseur alike. Our villain is a talented copyist, well practised in the style and the themes of his chosen artist. He is also a resourceful procurer of materials, able to rustle up every kind of age-appropriate canvas and frame, pigment and binder. He fits his forgery neatly into a chain of provenance – giving it the title of a now-lost work, or providing false documents to claim that it had been part of a well known private collection.
In theory, if each of these steps is perfectly performed, there should be no way to expose the painting as fake. It will be a work of art in every way save one. But the world of today, the world in which the forgery is being created, is likely to fix itself in some form within the painting – as radioactive dust, perhaps, or as cat hair, or a stray polypropylene fibre. When that happens, only the scientist can hope to nab it.
• This article was amended on 18 June 2018. A previous version stated that the last art history A-level was cut in England in 2016, but in fact a campaign of protest led to a new version being introduced in 2017.
• Follow the Long Read on Twitter at @gdnlongread, or sign up to the long read weekly email here.
© 2020 Guardian News & Media Limited or its affiliated companies. All rights reserved. (beta)
 

8/30/2020

Covid : les appels à la raison se mutiplient...


Covid : les appels à la raison se mutiplient...

Or donc, les appels se multiplient appelant les autorités sanitaires et politiques à revenir à la raison -ce qui signifie pour parler français d'oser s'extraire de l'influence délétère des comités d'experts à la botte des pharmas, comme le concept de "corruption systémique" (abondamment documenté sur ces pages comme dans mon livre "Covid : anatomie d'une crise sanitaire") la met en lumière.
C'est tout le drame de nos autorités : de ne s'être appuyés que sur des groupes à la logique dévoyée (sans intention malfaisante), devenus par la force des choses les petites mains des intérêts crapuleux qui dominent le monde de la santé depuis plusieurs décennies.
Des collectifs de vrais experts au moins aussi qualifiés que ceux qui trônent dans les Task Force diverses et variée de nos pauvres démocraties font enfin entendre leur voix de manière sonore. Les parlements tentent aussi, même si un peu timidement, de reprendre la main. Et le peuple (vous savez, ce soi-disant souverain que le fantasme des puissants espère réduire depuis la nuit des temps à une simple passivité servile) se mobilise aussi enfin en nombre.
Cent mille personnes sont attendues à Zürich ce jour, un million en demi à Berlin, avec une prise de parole fort attendue de l'avocat américain Robert Kennedy Jr -grand défenseur des droits des patients et de la démocratie sanitaire- à l'endroit même où son oncle prononça son fameux "Ich bin ein Berliner" !
Comptons sur notre presse pour prétendre qu'ils auront en fait été 5'000 et 10'000, constitués bien sûr et uniquement de complotistes d'extrême droite (what else...) ! Ce genre de ficelles odieuses prend heureusement de moins en moins.
A Genève, Mauro Poggia continue de se féliciter que le gouvernement se soit attribué les pleins pouvoirs et ait agi avec la diligence requise. M. Poggia est un homme pour qui j'ai de l'estime, arrivé à la tête du département de la santé comme une bouffée d'air frais et de bonne volonté sincère après les années d'obscurantisme médical des magistratures Unger.
S'il continue à se défendre en visant ces "experts auto-proclamés" qui contredisent les cercles sous influence auxquels il a prêté foi -me visant sans doute au passage puisque c'est le costard qui m'a été taillé dans ma notoriété nouvelle- il lui restera le chemin de Canossa à parcourir de comprendre à un moment donné à quel point il s'est trompé -certes avec la circonstance atténuante d'avoir été manipulé.
Nos autorités finalement auront fait aussi faux qu'en France, tout en ayant eu le bon goût de le faire de manière moins autoritaire. Nous pouvons leur être gré de cette nuance et de cette retenue, qui aura rendu l'aventure moins invivable pour nous. Mais ne les exonérera pas d'un bilan redoutable.
Qui s'en rend déjà compte - à part les milieux économiques, avec leur pragmatisme ? Nous nous dirigeons du fait de la gestion insensée du Covid vers ni plus ni moins qu'une destruction massive de nos sociétés.
Un million de chômeurs supplémentaires auront été produits en France depuis le début de l'épidémie - et ce n'est qu'un début. On estime qu'un tiers au moins des PME, des commerces, des bars et restaurants, des hôtels vont disparaître, avec une augmentation massive du nombre de personnes précarisées et nécessiteuses accompagnée d'une réduction tout aussi drastique des recettes publiques et donc des moyens d'aider la population.
Sans compter l'explosion de la détresse et même du désespoir ainsi qu'un effondrement de la santé psychique.
Tout ceci à cause d'une épidémie qui n'aura été que la dixième plus grave (en termes de surmortalité) depuis l'après-guerre et dont la courbe épidémique s'est effondrée dès avril pour disparaître en mai !!!
J'invite les lectrices et lecteurs qui l'osent à lire le texte proposé ici. Il s'agit de l'appel international lancé par un autre panel de professionnels de la santé (professeurs, médecins, épidémiologistes, infirmiers, chercheurs, etc.) au nombre desquels figurent la biologiste Hélène Bannon, ancienne directrice de recherches à l'INSERM, dont nous avons accueilli à deux reprises les analyses passionnantes sur ce blog. Puis éventuellement de relire les textes que j'ai produits ici dès le 12 mars pour apprécier que tout ce que j'avais indiqué d'emblée est bel et bien aujourd'hui vérifié.
MM. Berset et Poggia auraient été autrement inspirés de m'écouter et d'écouter les meilleurs spécialistes vers lesquels je me suis tourné dans mon effort documentaire. Le monde est ainsi fait que les tout meilleurs (comme les Pr Ioannidis, Gotzsche, Giesecke ou Raoult) sont vilipendés et dénigrés par des quart de pointure qui beuglent des vérités qui n'en sont pas et auront précipité nos sociétés dans l'abîme.
Oui, l'analyse qui viendra forcément en son temps sera implacable pour beaucoup. Mais comme souvent, si elle fera (un peu) de bien, elle arrivera surtout TROP TARD.
Ouvrir les yeux, comme aurait dit ce pauvre Hollande, c'est maintenant !


“STOP ! Manipulations, masques, mensonges, peur…”
Un collectif international de professionnels de santé dénonce
des “mesures folles et disproportionnées”

Un collectif de professionnels de santé a lancé ce jour un “Message d’alerte international” adressé aux gouvernements et citoyens du monde entier. Parmi les signataires, des médecins de nombreux pays et plusieurs professeurs en médecine dont le microbiologiste Martin Haditsh.
Le collectif revient sur la dangerosité réelle du virus, la manipulation des chiffres, le rôle de l’OMS, les conséquences du confinement ou du port du masque, et demande notamment aux gouvernements de “lever toutes les restrictions et les obligations sur les citoyens”. Vous pouvez télécharger l’intégralité de cette lettre ici en français, ou ici en anglais.
Les professionnels de santé qui le souhaitent sont invités à rejoindre le collectif “United Health Professionnals” à l’adresse join.unitedhealthprofessionals@gmail.com
Nous, professionnels de santé, à travers plusieurs pays au monde :

1. Nous disons : STOP à toutes les mesures folles et disproportionnées qui ont été prises depuis le début pour lutter contre le SARS-CoV-2 (confinement, blocage de l’économie et de l’éducation, distanciation sociale, port de masques pour tous, etc) car elles sont totalement injustifiées, elles ne sont basées sur aucune preuve scientifique et elles violent les principes de base de la médecine basée sur les preuves. Par contre, nous soutenons bien sûr les mesures raisonnables comme les recommandations de lavage des mains, d’éternuer ou de tousser dans son coude, utiliser un mouchoir à usage unique, etc.
Ce n’est pas la première fois que l’humanité fait face à un nouveau virus : elle a connu le H2N2 en 1957, le H3N2 en 1968, le SARS-CoV en 2003, le H5N1 en 2004, le H1N1 en 2009, le MERS-CoV en 2012 et fait face tous les ans au virus de la grippe saisonnière. Pourtant, aucune des mesures prises pour le SARS-CoV-2 n’a été prise pour ces virus-là.

On nous dit :
«Mais, le SARS-CoV-2 est très contagieux» et nous répondons : C’EST FAUX. Cette affirmation est d’ailleurs rejetée par des experts de renommée internationale. Une simple comparaison avec les autres virus permet de constater que la contagiosité du SARS-CoV-2 est modérée. Ce sont des maladies comme la rougeole qui peuvent être qualifiées de très contagieuses. Par exemple, une personne atteinte de rougeole peut infecter jusqu’à 20 personnes alors qu’une personne infectée par ce coronavirus n’en contamine que 2 ou 3, soit : 10 fois moins que la rougeole.
– «Mais, c’est un virus nouveau» et nous répondons : H1N1 et les autres virus qu’on a cités étaient aussi des virus nouveaux. Pourtant : on n’a pas confiné les pays, on n’a pas bloqué l’économie mondiale, on n’a pas paralysé le système éducatif, on n’a pas fait de distanciation sociale et on n’a pas dit aux gens sains de porter des masques. De plus, certains experts disent qu’il est possible que ce virus circulait déjà avant mais qu’on s’en est pas rendu compte.
– «Mais, on n’a pas de vaccin» et nous répondons : au début de l’H1N1 on n’avait pas non plus de vaccin, comme à l’époque du SARS-CoV. Pourtant : on n’a pas confiné les pays, on n’a pas bloqué l’économie mondiale, on n’a pas paralysé le système éducatif, on n’a pas fait de distanciation sociale et on n’a pas dit aux gens sains de porter des masques.
– «Mais, ce virus est beaucoup plus mortel» et nous répondons : C’EST FAUX. Car rien que comparé à la grippe et si on prend en compte la période entre le 1er Novembre et le 31 Mars, il y a eu au niveau mondial -lorsque ces mesures ont été prises- : 860,000 cas et 40,000 morts alors que la grippe dans la même période de 5 mois infecte, en moyenne, 420 millions de personnes et en tue 270,000. De plus, le taux de létalité annoncé par l’OMS (3,4%) était largement surestimé et était rejeté dès le début par d’éminents experts en épidémiologie. Mais, même en prenant ce taux de létalité, on constate que ce coronavirus est trois fois moins mortel que celui de 2003 (10%) et 10 fois moins mortel que celui de 2012 (35%).
– «Mais, la COVID-19 est une maladie grave» et nous répondons : C’EST FAUX. Le SARS-CoV-2 est un virus bénin pour la population générale car il donne 85% de formes bénignes, 99% des sujets infectés guérissent, il ne constitue pas un danger pour les femmes enceintes ainsi que les enfants (contrairement à la grippe), il se propage moins rapidement que la grippe et 90% des personnes décédées sont des personnes âgées (qui doivent, bien sûr, être protégées comme les autres populations à risque). C’est pour cela que des experts ont qualifié de «délire» l’affirmation que c’est une maladie grave et ont affirmé, le 19 Août dernier, que «ce n’est pas pire que la grippe».
– «Mais, il y a des personnes asymptomatiques» et nous répondons : dans la grippe aussi, 77% des sujets infectés sont asymptomatiques et ils peuvent aussi transmettre le virus. Pourtant : on ne dit pas, chaque année, aux sujets sains de porter des masques et on ne fait pas de distanciation sociale malgré que le grippe infecte 1 milliard de personnes et en tue 650,000.
– «Mais, ce virus entraîne une saturation des hôpitaux» et nous répondons : C’EST FAUX. La saturation ne concerne que quelques hôpitaux mais on fait croire aux gens que tout le système hospitalier est saturé ou que la saturation est imminente alors qu’il y a des milliers d’hôpitaux dans certains pays. Est-il raisonnable et vrai d’attribuer, par exemple, à 1000 ou 2000 hôpitaux une situation qui ne concerne que 4 ou 5 hôpitaux ? Rien d’étonnant, aussi, au fait que certains hôpitaux soient saturés car il s’agissait de foyers épidémiques (comme la Lombardie en Italie ou New-York aux USA). Il ne faut pas oublier que les hôpitaux de beaucoup de pays ont été submergés (y compris les soins intensifs) lors de précédentes épidémies de grippe et qu’à cette époque, on parlait même de : “tsunami” de patients dans les hôpitaux, “d’hôpitaux saturés”, de tentes érigées à l’extérieur des hôpitaux, de “zones de guerre”, “d’hôpitaux effondrés” et d’un “état d’urgence”. […]

2. Nous disons : STOP à ces mesures folles à cause, aussi, de leurs conséquences catastrophiques qui ont déjà commencé à apparaître : suicide de gens angoissés comme ça été rapporté en Chine, développement de pathologies psychiatriques, paralysie du parcours éducatif des élèves et des étudiants à l’université, impacts négatifs et dangers sur les animaux, négligence des autres maladies (surtout chroniques) et augmentation de leur mortalité, augmentation des violences conjugales, pertes économiques, chômage, crise économique majeure […], graves conséquences sur l’agriculture, déstabilisation des pays et de la paix sociale et risque de déclenchement de guerres. […]

3. Nous REFUSONS l’obligation des applications de traçage des contacts comme c’est le cas dans certains pays car le SARS-CoV-2 est un virus bénin qui ne justifie pas une telle mesure. D’ailleurs, selon les recommandations internationales et quelle que soit la sévérité d’une pandémie (modérée, élevée, très élevée), le traçage des contacts n’est pas recommandé. Lors des épidémies de grippe, faisons-nous un traçage des contacts ? Pourtant, le virus de la grippe infecte beaucoup plus de gens et comporte plus de populations à risque que ce coronavirus.

4. Nous disons : STOP à la censure des experts et des professionnels de santé pour leur empêcher de dire la vérité (surtout dans les pays qui se disent démocratiques).

5. Nous partageons l’avis des experts qui dénoncent l’inclusion des dépistages dans le comptage des cas, même si les sujets sont bien portants et asymptomatiques.
Ceci a abouti à une surestimation des cas. On rappelle que la définition d’un cas en épidémiologie est : «la survenue de nombreuses issues possibles : maladies, complications, séquelles, décès. Dans la surveillance dite syndromique, on définit comme cas la survenue d’évènements non spécifiques tels que des groupements de symptômes ou des motifs de recours aux soins, hospitalisations, appels de services d’urgence». Nous disons donc : il faut séparer les dépistages des cas et il faut arrêter de les mélanger.

6. Nous partageons l’avis des experts qui dénoncent le fait qu’aucune distinction n’est faite entre les personnes mortes du virus et les personnes mortes avec le virus (avec des co-morbidités), le fait que la cause du décès soit imputée au SARS-CoV-2 sans test ni autopsie et que des médecins soit mis sous pression pour que la COVID- 19 soit marquée comme cause de décès, même si le patient est décédé d’autre chose. Ceci aboutit à une surestimation du nombre de morts et constitue une manipulation scandaleuse des chiffres car au cours des épidémies de grippe saisonnière par exemple, on ne travaille pas de cette façon. D’autant plus que 20% des patients COVID sont co-infectés par d’autres virus respiratoires aussi. Après réévaluation, seuls 12% des certificats de décès dans un pays européen ont montré une causalité directe du coronavirus. Dans un autre pays européen, les professeurs Yoon Loke et Carl Heneghan ont montré qu’un patient qui a été testé positif mais traité avec succès puis sorti de l’hôpital, sera toujours compté comme un décès COVID même s’il a eu une crise cardiaque ou a été fauché par un bus trois mois plus tard. Le directeur du CDC (Centers for Disease Control and Prevention) d’un pays en Amérique du Nord a reconnu, le 31 Juillet, que des hôpitaux avaient bien une incitation financière perverse à gonfler les chiffres de décès dus au coronavirus.

7. Nous partageons l’avis des experts qui ont mis en garde contre l’intubation quasi- systématique de certains patients, due à la peur folle du virus. Il faut que les protocoles soient modifiés car ils ont abouti à un nombre élevé de morts.

8. Nous disons qu’il est important qu’une révision des performances analytiques et cliniques des tests mis sur le marché soit faite, y compris les tests virologiques. Beaucoup de kits sont utilisés actuellement alors qu’une partie importante de leurs performances (par exemple : la spécificité analytique, surtout pour les quatres coronavirus saisonniers) n’a pas été évaluée, ce qui est grave car en plus des cas de faux négatifs, la littérature rapporte des faux positifs inquiétants, ce qui peut surestimer le nombre de cas et de morts. Selon un professeur de microbiologie, le taux de faux positifs peut atteindre 20%. Certains articles scientifiques qui rapportent ces cas de faux positifs ont été censurés. Nous disons donc : STOP à l’obligation des tests de dépistage à cause de ce manque de fiabilité et du manque de vérification de leurs performances et parce que rien dans ce coronavirus (qui est un virus bénin et avec un taux de létalité faible) ne le justifie. Comme nous l’avons dit : la grippe infecte chaque année 1 milliard de personnes, soit : 30 fois plus que le SARS-CoV-2 et pourtant, aucun test n’est exigé pour les voyages.

9. Nous disons aux citoyens : n’ayez pas peur, ce virus est bénin sauf si vous faites partie des populations à risque. Si les chaînes de télévision font la même chose avec la grippe, les chiffres seront beaucoup plus élevés que pour le coronavirus ! La télévision vous rapportera chaque jour en moyenne : 3 millions de cas et 2,000 morts de grippe. Et pour la tuberculose, la télévision vous rapportera chaque jour en moyenne : 30,000 cas et 5,000 morts. En effet, le virus de la grippe infecte chaque année 1 milliard de personnes et en tue 650,000 et la tuberculose infecte chaque année 10,4 millions et tue 1,8 million de personnes. De plus, à la TV on vous parle de « cas » alors qu’il s’agit de dépistages et non pas de cas. […]

10. Nous disons aux citoyens : le lavage des mains est un réflexe qu’on doit avoir tout au long de notre vie, qu’il y ait le coronavirus ou pas, car c’est la mesure d’hygiène la plus efficace. Mais, porter un masque lorsqu’on n’est pas malade et pratiquer la distanciation sociale, ça ne fait pas partie de l’hygiène ou de la préservation de la santé publique mais c’est de la folie. Porter un masque longtemps comporte plusieurs effets indésirables pour votre santé et le transforme en nid à microbes. “Le virus peut se concentrer dans le masque et lorsque vous l’enlevez, le virus peut être transféré dans vos mains et ainsi se propager”, a déclaré le Docteur Anders Tegnell, épidémiologiste. Lorsqu’on lui a demandé si les gens se mettaient plus en danger en portant des masques, le Docteur Jenny Harries a répondu : «En raison de ces problèmes de manipulation [des masques], les gens peuvent se mettre plus en danger». […] Vous devez savoir que la bouche et le nez ne sont pas faits pour être obstrués. Ce que vous portez est un masque, en apparence mais une muselière de votre liberté, en réalité. D’autant plus que, comme le disent plusieurs experts dont le Professeur Yoram Lass, l’épidémie est terminée dans la majorité des pays et ceux qui vous disent le contraire sont des MENTEURS. En vous disant que l’épidémie n’est pas terminée, en brandissant la menace d’une 2e vague (qui ne repose sur aucune preuve), en vous demandant de porter un masque et de faire de la distanciation sociale, le but est, en fait, de prolonger la peur jusqu’à la fabrication d’un vaccin et pour qu’il soit mieux accepté par vous.

11. Nous disons aux compagnies aériennes : plusieurs études scientifiques ont montré un lien entre l’excès d’hygiène et le développement de maladies comme les maladies allergiques, les maladies auto-immunes, les maladies inflammatoires ou certains cancers. C’est ce que l’on appelle en médecine : l’hypothèse hygiéniste. Donc, arrêtez les opérations de désinfection et enlevez les masques ainsi que les combinaisons protectrices ridicules de vos employés qu’on a vues dans les médias. Faire cela relève de la folie. Les aéroports doivent aussi arrêter la prise de température ainsi que les quarantaines. Le SARS-CoV-2 n’est pas la peste noire. Vous aussi, comme les citoyens, vous avez été manipulés.

12. Nous disons aux gouvernements : levez toutes les restrictions et les obligations sur les citoyens (état d’urgence, port de masque obligatoire, distanciation sociale, etc.) car elles sont stupides et purement dictatoriales et n’ont rien à voir avec la médecine ou l’hygiène ou la préservation de la santé publique. Il n’y a aucune raison scientifique ou médicale pour que des citoyens non malades portent un masque. Le Docteur Pascal Sacré, anesthésiste-réanimateur, a dit : «Obliger tout le monde à les porter tout le temps, alors que l’épidémie disparaît, est une aberration scientifique et médicale». Le Professeur Didier Raoult dit : «La décision du confinement comme la décision des masques…ne reposent pas sur des données scientifiques…». […]. Le Professeur Maël Lemoine a précisé aussi que le changement de discours sur les masques est : «politique, pas scientifique». Dans certains pays asiatiques, les gens portent des masques toute l’année (pour se protéger, entre autres, de la pollution). Est-ce que ce port généralisé des masques dans ces pays leur a évité d’avoir des épidémies de coronavirus ? Est-ce que ce port généralisé des masques dans ces pays leur évite d’avoir chaque année des épidémies de grippe ou d’autres virus respiratoires ? La réponse est bien sûr : non. […]

13. Nous disons aux forces de l’ordre : les citoyens vous doivent beaucoup car vous êtes tous les jours les garants de leur sécurité et du respect de l’ordre et de loi. Mais, faire respecter la loi ne veux pas dire se soumettre de manière aveugle à des ordres injustes. C’est cette erreur qui a conduit à la seconde guerre mondiale et à la mort de 50 millions de personnes. Nous vous disons donc : faites respecter la loi mais pas l’injustice et la dictature, refusez d’imposer ces mesures, refusez de verbaliser vos concitoyens (lorsqu’ils ne portent pas un masque par exemple), ne les frappez pas, ne les emprisonnez pas. Ne soyez pas les instruments de la dictature. […]

14. Nous disons aux citoyens : il faut respecter la loi. Mais, ceci ne veux pas dire la soumission aveugle à la folie, à l’injustice ou à la dictature. C’est cette soumission aveugle des citoyens aux lois injustes qui a conduit à la seconde guerre mondiale avec la mort de 50 millions de personnes. Vous êtes nés libres et vous devez vivre libres, donc : n’ayez pas peur et si vous n’êtes pas malades : enlevez les masques, sortez de chez vous comme vous le souhaitez et sans distanciation sociale, mais faites-le pacifiquement et sans aucune violence. Les professeurs Carl Heneghan et Tom Jefferson, épidémiologistes avec une grande expertise dans la médecine basée sur les preuves, disent : «Il n’y a aucune preuve scientifique pour soutenir la règle désastreuse de deux mètres. Des recherches de mauvaise qualité sont utilisées pour justifier une politique aux conséquences énormes pour nous tous».

15. Nous disons qu’il faut une réforme totale de l’OMS.
Les succès de l’OMS sont incontestables : des millions de vies ont été sauvées grâce aux programmes de vaccination contre la variole et la consommation de tabac a été réduite dans le monde. Mais, le problème majeur de l’OMS est qu’elle est depuis plusieurs années financée à 80% par des entreprises (notamment des laboratoires pharmaceutiques) et des donateurs privés (dont une fondation très connue) et les faits s’accumulent : fausse alerte sur l’H1N1 sous l’influence des lobbies pharmaceutiques, complaisance troublante envers le glyphosate que l’OMS avait déclaré sans danger en dépit des victimes de l’herbicide, aveuglement face aux conséquences de la pollution liée aux compagnies pétrolières en Afrique, minoration des bilans humains des catastrophes nucléaires de Tchernobyl à Fukushima et des désastres de l’utilisation de munitions à uranium appauvri en Irak ou dans les Balkans, non-reconnaissance de l’Artemisia pour protéger les intérêts des entreprises pharmaceutiques malgré qu’elle a prouvé son efficacité dans le traitement du paludisme.
L’indépendance de l’organisation est compromise tout à la fois par l’influence des lobbies industriels -surtout pharmaceutiques- et par les intérêts de ses États membres, en particulier : la Chine. Le président d’un pays a dit : «Je pense que l’Organisation Mondiale de la Santé devrait avoir honte parce qu’ils sont devenus les porte-paroles de la Chine». L’institution de Genève, qui avait sous- estimé la menace Ebola (plus de onze mille morts) est de surcroît accusée de négligence vis-à-vis des maladies tropicales, au profit de marchés plus juteux. Une enquête réalisée en 2016 (l’OMS dans les griffes des lobbyistes) a livré une édifiante radiographie de l’OMS en dressant le portrait d’une structure fragilisée, soumise à de multiples conflits d’intérêts. Cette investigation a montré combien, à l’OMS, les intérêts privés dominent les enjeux de santé publique. Il n’est pas acceptable que l’argent qui la finance vienne principalement d’une seule personne et qu’elle soit infiltrée par des lobbies. Récemment, l’OMS s’est décrédibilisée encore plus en tombant dans le piège du Lancet Gate alors qu’un simple étudiant aurait découvert la fraude.
À l’époque de la grippe H1N1 : le Docteur Wolfgang Wodarg, président de la commission santé de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe, a critiqué l’influence de l’industrie pharmaceutique sur les scientifiques et les fonctionnaires de l’OMS, déclarant qu’elle a conduit à la situation où “inutilement des millions de personnes en bonne santé étaient exposées au risque de vaccins mal testés” et que, pour une souche de grippe, elle était “beaucoup moins nocive” que toutes les épidémies de grippe précédentes. Il a eu totalement raison puisque, plus tard, le vaccin a fait 1,500 victimes de narcolepsie dont 80% des enfants, comme on va le voir. Il a aussi reproché à l’OMS d’avoir alimenté la crainte d’une “fausse pandémie”, l’a qualifiée de “l’un des plus grands scandales médicaux de ce siècle” et a demandé l’ouverture d’une enquête.
En effet, les critères pour déclarer une pandémie (comme la sévérité) ont été modifiés par l’OMS sous l’influence des lobbies pharmaceutiques afin qu’ils puissent vendre les vaccins aux pays du monde. Selon un rapport de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe sur le gestion de la grippe H1N1, y compris par l’OMS : «gaspillage de fonds publics importants et existence de peurs injustifiées relatives aux risques de santé…De graves lacunes ont été identifiées en ce qui concerne la transparence des processus de décision liés à la pandémie, ce qui soulève des préoccupations sur l’éventuelle influence que l’industrie pharmaceutique aurait pu exercer aux égards des principales décisions relatives à la pandémie. L’Assemblée craint que ce manque de transparence et de responsabilité ne fasse chuter la confiance des citoyens dans les avis des grands organismes de santé publique». L’histoire se répète aujourd’hui avec exactement les mêmes acteurs et la même compagne de peur. L’ancien secrétaire général du département de santé publique de l’OMS a révélé dans une autre enquête (TrustWHO) qu’à l’époque de H1N1, personne n’avait peur à l’OMS et qu’il ne connaît personne à l’OMS qui s’est fait vacciner, y compris l’ancienne directrice générale : la Chinoise Margaret Chan. Bien qu’il soit un haut responsable à l’OMS, il a été exclu ainsi que la plupart de ses collègues d’une réunion entre la directrice générale et les entreprises pharmaceutiques fabricatrices de vaccin avec comme motif : «c’est une réunion privée»…

16. Nous disons qu’il faut qu’une enquête soit ouverte et que certains responsables de l’OMS soient interrogés en particulier celui qui a fait la promotion internationale du confinement, qui est une hérésie d’un point de vue médical et une arnaque qui a égaré le monde. En effet, le 25 Février 2020 : le chef de la mission d’observation internationale du coronavirus en Chine a loué la réponse apportée par Pékin à l’épidémie. Il a dit que la Chine a réussi par des méthodes «à l’ancienne», a souligné que «le monde avait besoin des leçons de la Chine», qu’il faudrait s’en inspirer et que s’il avait la COVID-19, il aimerait se faire soigner en Chine !
Une fois, il a aussi qualifié la Chine de «très ouverte» et «très transparente». Comment peut-on croire à ces déclarations ? Comment peut-on croire que s’il avait la COVID-19, il irait se soigner en Chine ? Comment peut-on croire que le monde doit s’inspirer de la Chine et que la lutte de l’épidémie doit se faire avec des “méthodes à l’ancienne” ?
Ce qui est hallucinant, c’est qu’il a réussi à faire avaler ses salades au monde entier. Car malheureusement : depuis ses déclarations et le rapport qu’il a supervisé (où on peut lire que les méthodes chinoises sont : “agiles et ambitieuses”), les pays du monde ont mis en place des mesures disproportionnées et ont suivi aveuglément l’OMS en confinant leurs populations. La peur et la psychose ont été propagées en présentant le SARS-CoV-2 comme un virus très dangereux ou à mortalité massive alors que ce n’est absolument pas le cas.
[…] Des élus Canadiens de la Chambre des communes ont même sommé ce responsable de l’OMS à comparaître après qu’il eut refusé des invitations à témoigner devant le comité permanent de la santé. Même, le chef intérimaire du Parti conservateur Canadien a mis en doute l’exactitude des données de l’OMS sur la COVID-19. En effet, dire que la Chine a diminué le nombre de cas ou a bien géré l’épidémie et a aplani la courbe grâce au confinement est un pur mensonge et n’est basé sur aucune preuve car personne n’est capable de donner le chiffre du nombre de cas ou de morts en Chine si elle n’avait pas appliqué le confinement. […]
La folie a atteint le point où dans certains pays : des plages ont été désinfectées avec de l’eau de javel, des pompiers moustachus et barbus interdits de travail, des plexiglas ont été installés partout (même dans les classes des écoles) comme si c’était la peste noire, un train a été arrêté parce qu’une personne ne portait pas le masque, des familles privées de voir leurs morts (comme si le virus allait sauter du corps et les mordre), des septuagénaires verbalisées pour être sorties jeter les poubelles et même des pièces de monnaie et des billets de banque provenant de l’étranger ont été “isolés” !
Comment les pays ont-ils pu accepter de tomber dans ce niveau de folie, de stupidité et de dictature ? Surtout ceux qui se disent démocratiques. Tout ça pour un virus qui entraîne 85% de formes bénignes et pour lequel 99% des gens infectés guérissent. L’OMS a exhorté le monde à copier la réponse de la Chine à la COVID-19 et elle a réussi ; chaque pays du monde, en suivant aveuglément l’OMS, est devenu une copie conforme de la Chine. Quelques pays seulement ont refusé d’imiter bêtement les autres, comme la Suède ou la Biélorussie qui peuvent être félicités. […]

17. Nous disons qu’il faut arrêter de suivre aveuglément l’OMS car elle n’est pas une société savante et loin d’être indépendante, comme on l’a vu. Interrogée sur la raison de la décision de rendre 11 vaccins obligatoires, une ancienne ministre de la santé d’un pays européen a répondu : «C’est une décision de santé publique qui répond, en fait, à un objectif mondial de l’OMS qui demande aujourd’hui à tous les pays du monde d’obtenir 95% d’enfants vaccinés pour les vaccins nécessaires».
Nous recommandons, aussi, aux gouvernements de bien choisir les experts qui les conseillent et d’éviter ceux qui ont des liens avec les laboratoires pharmaceutiques ; Un grand professeur en infectiologie a fait cette remarque sur certains experts d’un pays européen : «Un membre éminent de la commission Maladies transmissibles de ce Haut Conseil a ainsi touché 90,741 euros de l’industrie pharmaceutique, dont 16,563 euros de [un laboratoire pharmaceutique qui produit une molécule concurrente de l’hydroxychloroquine]. Or c’est ce Haut Conseil qui a rendu le fameux avis interdisant l’hydroxychloroquine, sauf aux mourants…je ne vois pas de trace dans cet avis du respect de la procédure de gestion des conflits d’intérêts…Si un membre présente un conflit d’intérêts majeur, il doit quitter la séance et ne pas participer aux débats ni à la rédaction de l’avis…Or en bas de cet avis, on ne mentionne pas les conflits d’intérêts ni le nombre de membres qualifiés ayant participé au vote. C’est un grave manquement au règlement». […]

18. Nous disons aux gouvernements : ne suivez plus -dans les épidémies- les modélisations mathématiques qui sont des choses virtuelles sans lien avec la réalité et qui ont égaré le monde à plusieurs reprises et ont servi de justification aux politiques folles de confinement. En effet, une université européenne qui a des liens forts avec l’OMS avait dit que :
– 50,000 britanniques seront morts de la maladie de la vache folle alors qu’au final seulement 177 sont décédés.
– la grippe aviaire allait tuer 200 millions de personnes alors que 282 seulement sont décédés.
– la grippe H1N1 allait tuer 65,000 britanniques alors que 457 seulement sont décédés. Le taux de mortalité a été aussi exagéré alors que la grippe H1N1 s’est révélée finalement beaucoup moins dangereuse, ce qui a incité beaucoup de gens à dénoncer l’argent, le temps et les ressources considérables déployés pour une grippe bénigne. À l’époque, la presse a découvert que le recteur de cette université, qui a conseillé l’OMS et les gouvernements, a reçu un salaire de 116,000 £ par an du fabricant de vaccin contre l’H1N1.
Et aujourd’hui, c’est sur la base du même modèle défectueux, développé pour la planification de la pandémie de grippe, qu’ils ont donné leurs prévisions astrologiques sur la COVID-19 ; ils ont dit que 500,000 mourront au Royaume-Uni, 2,2 millions aux Etats-Unis, 70,000 en Suède et entre 300,000 et 500,000 en France ! Qui peut croire ces chiffres fous ? C’est pour cela que le Professeur Didier Raoult qualifie ces modélisations de : «forme moderne des divinations».
Le Professeur John Ashton a également dénoncé ces prédictions astrologiques et le fait qu’elles aient une sorte de statut religieux. De plus, la presse a découvert que celui qui, dans cette université, a incité les gouvernements au confinement ne respecte même pas ce qui leur préconisait. Là aussi, une enquête mérite, d’être menée auprès de certains responsables de cette université européenne. Le Professeur Jean-François Toussaint a dit à propos du confinement : «Il faut à tout prix éviter qu’un quelconque gouvernement ne reprenne un jour une telle décision. D’autant que l’instrumentalisation de la pandémie avec des confinements généralisés pour la moitié de l’humanité n’aura abouti qu’à renforcer les régimes autoritaires et à suspendre les campagnes de prévention des grandes maladies mortelles. En France, les simulations estimant que 60,000 vies ont été sauvées sont de pures fantaisies». Le fameux slogan international : «Restez chez vous, sauvez des vies» était une affirmation tout simplement mensongère. Au contraire, le confinement a tué beaucoup de gens.

19. Nous REFUSONS l’obligation vaccinale et nous REFUSONS l’obligation d’un certificat de vaccination contre le coronavirus pour voyager, pour les raisons suivantes :
– Le vaccin n’est pas indispensable car 85% des formes sont bénignes, 99% des sujets infectés guérissent et les enfants ainsi que les femmes enceintes ne sont pas des sujets à risque. De plus, une grande partie de la population est déjà protégée contre le SARS-CoV-2 grâce à l’immunité croisée acquise avec les coronavirus saisonniers. Dire qu’on n’en est pas sûr est UN MENSONGE et émettre des doutes sur la durée ou l’efficacité de cette protection est une manipulation visant à protéger le business plan du vaccin.
– C’est un virus à ARN, donc plus propice à des mutations et le vaccin risque d’être inefficace.
– Des essais de vaccin sont réalisés dans la précipitation et certains appellent à accélérer les procédures de tests et à se passer des habituels essais sur les comprendre les risques pour la sécurité pourrait entraîner des revers injustifiés pendant la pandémie et à l’avenir.
– Les précédents essais de vaccins contre les coronavirus sont inquiétants :
en 2004, l’un des vaccins mis au point contre le SRAS avait provoqué une hépatite chez les animaux sur lesquels il avait été testé. Un autre vaccin en phase de test avait causé de graves lésions pulmonaires aux animaux de laboratoire, les rendant plus fragiles à de futures infections. Des vaccins développés contre un autre coronavirus, le virus de la péritonite infectieuse féline, augmentaient le risque pour les chats de développer la maladie causée par le virus. Des phénomènes similaires ont été observés dans des études animales pour d’autres virus, y compris le coronavirus qui cause le SRAS.
– Certains vaccins sont testés par des entreprises qui n’ont aucune expérience dans la fabrication et la commercialisation des vaccins et qui utilisent des technologies nouvelles en médecine dont on ne connaît ni les bénéfices ni les risques pour la santé.
– La recherche de profit financier de nombreuses entreprises pharmaceutiques aux dépens de la santé des populations (sans généraliser bien sûr sur la totalité).
Le patron d’une entreprise pharmaceutique a dit devant ses actionnaires lors de la grippe H1N1 : «Ce vaccin, ça sera une opportunité significative en termes de revenus. C’est un joli coup de fouet pour nous, pour le chiffre d’affaires et pour le cash flow».
L’ancien ministre de la santé d’un pays européen a déclaré le 23 Mai 2020 : «Quand il y a une épidémie comme le COVID, nous on voit : mortalité, quand on est médecin,…ou on voit : souffrance. Et il y a des gens qui voient : dollars…vous avez des grands laboratoires qui disent : c’est le moment ou jamais de gagner des milliards».
Le 16 Juin 2020, le Professeur Christian Perronne, spécialiste des maladies infectieuses, a dit sur Sud Radio à propos du vaccin contre le coronavirus : «On n’en a aucun besoin…Tout ça, c’est une histoire purement commerciale». Le site internet du magazine Nexus a publié le 07 Août l’avis du Docteur Pierre Cave qui dit : «L’épidémie est terminée en France…en tant que médecin, je n’hésite pas à anticiper les décisions du gouvernement : Il faut non seulement refuser ces vaccins [contre la COVID-19], mais dénoncer et condamner la démarche purement mercantile et le cynisme abject qui ont guidé leur production».
– Les violations éthiques scandaleuses dans de nombreux essais cliniques :
comme les pays occidentaux ne leur permettent pas de violer les principes éthiques, de nombreux laboratoires pharmaceutiques (sans généraliser sur la totalité) réalisent leurs essais cliniques de médicaments et de vaccins dans les pays en développement ou pauvres où des expériences sont menées sur des gens sans qu’ils en aient la moindre connaissance et sans leur consentement. Le rapport rédigé par Irene Schipper (SOMO briefing paper on ethics in clinical trials) a montré des manquements éthiques choquants et très graves ; dans un essai clinique, par exemple, des femmes Africaines ont contracté le VIH et sont devenues ensuite malades du SIDA. Cet essai clinique a été financé par une fondation ainsi qu’un laboratoire très connus. Dans certains pays, ces essais cliniques scandaleux ont été accomplis avec la complicité des autorités locales sur fond de conflits d’intérêts.
– Une entreprise pharmaceutique : AstraZeneca a conclu un accord avec plusieurs pays qui lui permet d’obtenir l’immunité de toute plainte légale, au cas où le vaccin devait finalement montrer des effets secondaires nocifs. En d’autres termes, ce sont les états et pas AstraZeneca qui indemniseront les victimes, c’est-à-dire avec l’argent des citoyens ! À ce propos, nous disons aux citoyens : Protestez MASSIVEMENT contre cet accord scandaleux, honteux et profondément injuste jusqu’à ce qu’il soit supprimé. Il faut refuser cette utilisation IRRESPONSABLE de votre argent. Même des experts Belges ont été «choqués» par cet accord.
– Les scandales des vaccins dangereux voire mortels élaborés en période d’épidémie et on va citer deux exemples (nous ne sommes, évidemment, pas des anti-vaccins puisque ça signifie remettre en cause les découvertes d’Edward Jenner) :
Le scandale du vaccin contre l’H1N1 : il a été testé sur un faible nombre de personnes et malgré cela, il a été commercialisé comme étant sûr en 2009. Mais, un an après, des inquiétudes ont été exprimées en Finlande et en Suède concernant une éventuelle association entre la narcolepsie et le vaccin. Une étude de cohorte ultérieure en Finlande a signalé un risque 13 fois plus élevé de narcolepsie après la vaccination chez les enfants et les jeunes âgés de 4 à 19 ans, dont la plupart des cas étaient apparus dans les trois mois suivant la vaccination et presque tous dans les six mois. Il a fallu attendre 2013 pour qu’une étude publiée dans le British Medical Journal confirme ces résultats pour la Grande Bretagne, aussi37. Au total, ce vaccin dangereux a entraîné 1,500 cas de narcolepsie rien qu’en Europe et 80% des victimes sont des enfants. Une partie du personnel médical du NHS vacciné a été touchée aussi par la narcolepsie.
[…] Peter Todd, un avocat qui représentait bon nombre des plaignants, déclarait au Sunday Times: “Il n’y a jamais eu de cas comme celui-là auparavant. Les victimes de ce vaccin sont incurables et à vie et auront besoin de nombreux médicaments”. Parmi les enfants victimes du vaccin : Josh Hadfield (huit ans), qui prend des médicaments anti- narcolepsie coûtant 15,000 £ par an pour l’aider à rester éveillé pendant la journée à l’école. […] Les familles ont subi un calvaire qui a duré 7 ans pour obtenir gain de cause en justice. Et au lieu que ça soit le laboratoire pharmaceutique qui les indemnise, c’est les états qui l’ont fait, c’est-à-dire avec l’argent du citoyen ! […]

20. Nous disons : STOP à toutes ces mesures folles, dictatoriales et sûrement pas sanitaires et à cause desquelles des drames se produisent chaque jour, […] 60,000 patients cancéreux risquent de décéder en Angleterre à cause des retards de diagnostic et de traitement selon le Professeur Karol Sikora, 12,000 personnes dans le monde risquent de mourir chaque jour de la faim (selon Oxfam), le nombre d’arrêts cardiaques a été multiplié par deux dans certains pays, des entreprises tombent en faillite, 305 millions d’emplois à plein temps sont détruits – touchant particulièrement les femmes et les jeunes- selon l’organisation internationale du travail, un homme est mort à cause du masque aux Etats-Unis, etc. […]

21. Nous disons aux gouvernements : TOUT doit revenir immédiatement à l’état normal (y compris la ré-ouverture des services hospitaliers, du transport aérien, de l’économie, des écoles et des universités) et cette prise d’otages mondiale doit cesser car vous avez su, preuves à l’appui, que vous comme les citoyens, vous avez été victimes de la plus grande arnaque sanitaire du 21e siècle.
Le professeur Carl Heneghan a déclaré le 23 août que la peur qui empêche le pays de revenir à la normale n’est pas fondée, selon l’Express. Les Professeurs Karina Reiss et Sucharit Bhakdi ont sorti, en Juin, un livre appelé : «Corona : fausse alarme ?»45. Le maire d’une ville en Europe a déclaré : «Le climat diffusé sur [le sujet du coronavirus] est particulièrement lourd et devient suspect». Le Docteur Olivier Chailley a écrit un livre intitulé : «Le virus de la peur ou comment le monde entier est devenu fou». Le Professeur Sucharit Bhakdi (qui a écrit, aussi, une lettre à Angela Merkel) a dit à propos des mesures prises, y compris celles du confinement : “mesures grotesques, absurdes et très dangereuses…un impact horrible sur l’économie mondiale…auto- destruction et suicide collectif…”. Une enquête internationale et indépendante doit être ouverte et les responsables doivent être jugés.

22. Nous disons aux citoyens : pour vous maintenir dans le troupeau, il est possible que certains vont essayer de nous discréditer par tous les moyens, par exemple en nous accusant de conspirationnistes ou de complotistes, etc. Ne les écoutez pas, ce sont des MENTEURS car les informations qu’on vous a données sont : médicales, scientifiques et documentées.

23. Nous disons aux citoyens : cette lettre ne doit pas vous pousser à la violence envers qui que ce soit. Réagissez pacifiquement. Et si un professionnel de santé signataire de cette lettre sera attaqué ou diffamé ou menacé ou persécuté : soutenez-le MASSIVEMENT. Chers citoyens : beaucoup de scientifiques, d’éminents professeurs de médecine et de professionnels de santé à travers le monde ont dénoncé ce qui se passe et il est temps de vous réveiller ! Si vous ne dites rien, de nouvelles mesures dictatoriales «made in China» seront imposées. Vous devez REFUSER ça. Nous vous assurons que ces mesures n’ont rien à voir avec la médecine ou l’hygiène ou la préservation de la santé publique, c’est de la dictature et de la folie. Le Docteur Anders Tegnell a dit : «Le monde est devenu fou» en mettant en place les confinements qui «vont à l’encontre de ce que l’on sait sur la gestion des pandémies de virus».

24. Nous invitons les professionnels de santé du MONDE ENTIER à être forts et courageux et à faire leur devoir de dire la vérité, à nous rejoindre MASSIVEMENT dans le collectif : United Health Professionnals et à signer cette lettre en envoyant les 4 informations suivantes : prénom, nom, profession et pays à : join.unitedhealthprofessionals@gmail.com
La liste des signataires sera mise à jour régulièrement.

SIGNATAIRES :
Professor Martin Haditsh, microbiology, infectious disease and tropical medicine specialist, Austria
Ghislaine Gigot, general practitioner, France
François Pesty, pharmacist, France
Catherine Raulin, general practitioner, France
Laurent Hervieux, general practitioner, France
Geneviève Magnan, nurse, France
Jean-Pierre Eudier, dental surgeon, Luxembourg
Andrée Van Den Borre, dental surgeon, Belgium
Mauricio Castillo, anesthesiologist and intensive care physician, Chile
Marie-Claude Luley-Leroide, general practitioner, France
Daniele Joulin, general practitioner, France
Mohamed Zelmat, clinical biologist, France
Nadine Blondel, nurse, France
Hélène Banoun, clinical biologist, France
Estelle Ammar, speech therapist, France
Caroline Durieu, general practitioner, Belgium
Doris Stucki, psychiatrist, Switzerland
Jessica Leddy, licensed acupuncturist, United States of America
Fabien Quedeville, general practitioner, France
Michel Angles, general practitioner, France
Dominique Carpentier, general practitioner, France
Christophe Cornil, plastic surgeon, France
Pierre Brihaye, ear, nose and throat specialist, Belgium
Elizabeth Luttrell, certified nursing assistant, United States of America
Tasha Clyde, nurse, United States of America
Walter Weber, internal medicine and oncology specialist, Germany
Professor Pierre-Francois Laterre, anesthesiologist and intensive care physician, Belgium
Sylvie Lathoud, clinical psychologist, France
Karim Boudjedir, hematologist, France
Caroline Heisch, osteopath, France
Eric Blin, physiotherapist, France
Vincent Schmutz, dental surgeon, France
Zieciak WB, ears nose and throat surgeon, South Africa
Virginie Merlin, nurse, Belgium
Gabriel Brieuc, anesthesiologist, Belgium
Marie-José Eck, general practitioner, France
Patricia Grasteau, nursing assistive personnel, France
Christine Villeneuve, psychotherapist, France
Philippe Voche, plastic surgeon, France
Gérard Bossu, osteopath, France
Elaine Walker, emergency medicine physician, United States of America
Richard Amerling, nephrologist, United States of America
Phil Thomas, general practitioner, South Africa
Manfred Horst, allergologist and immunologist, France
Sybille Burtin, public health physician, France
Chantal Berge, nurse, France
Denis Agret, emergency medicine and public health physician, France
Mélanie Dechamps, intensive care physician, Belgium
Prosper Aimé Seme Ntomba, dental surgeon, Cameroon
Sandrine Lejong, pharmacist, Belgium
Professor Jan Zaloudik, surgical oncology, Czech Republic
Cerise Gaugain, midwife, France
Delphine Balique, midwife, France
Marion Campo, midwife, France
Olivier Chailley, cardiologist, France
Johan Sérot, physiotherapist, France
Arlette Fauvelle, pharmacist, Belgium
Farooq Salman, ear, nose and throat specialist, Irak
Olga Goodman, Rheumatologist, United States of America
Pascal Leblond, nurse, France
Sybille Morel, nurse, France
Marie-Thérèse Nizier, physiotherapist, France
Graziella Mercy, nurse, France
Pierre Maugeais, general practitioner, France
Carrie Madej, internal medicine specialist, United States of America
Victor Gomez Saviñon, cardiac surgeon, Mexico
Martin Boucher, nurse, Canada
Evelyne Nicolle, pharmacist, France
Agnès Dupond, general practitioner, France
Azad Mitha, general practitioner,
France Ines Heller, physiotherapist, France
Marie Laravine, nurse, France
Khaleel Kareem, anesthesiologist and intensive care physician, Irak
Tonya Davis, certified nursing assistant, United States of America
Mary Baty, dental hygienist, United States of America
Luis Angel Ponce Torres, physician, Peru
Texte complet en version pdf (français)